CFP
1.1 SFPS Postgraduate Workshop “Francophone Postcolonial Visual Cultures”
1.2 Les traumatismes de l’Empire.
1.3 Rencontre nationale des jeunes chercheurs en études africaines
Calls for contribution
2.1 Proposed book title: Studies in African Autobiography
New titles
3.1 Passages et ancrages en France. Dictionnaire des écrivains migrants de langue française
3.2 Mohammed-Salah Zeliche, Mohammed Dib. L’Homme épris de lumière – Evolution créatrice et dynamique de libération du moi
Other News
4.1 BnF Atelier du livre : “Le Livre en Afrique francophone”
CFP
1.1 Society for Francophone Postcolonial Studies Postgraduate Workshop “Francophone Postcolonial Visual Cultures”
Institute of Germanic and Romance Studies, London
26 September 2012
Keynote speakers: Professor Guy Austin (Newcastle University)
Dr Will Higbee (University of Exeter)
The theme of the fourth annual SFPS Postgraduate Workshop will be Francophone Postcolonial Visual Cultures.
During the twentieth and twenty-first centuries, visual cultures and their relation to socio-political concerns have come to occupy an increasingly predominant position in academic discussion across a range of disciplines, and their centrality to Francophone Postcolonial Studies cannot be overlooked. Postcolonial societies engage with visual cultures in new and creative ways, and the interaction of postcolonial theory with theories of visual representation continues to offer innovative insights into pre-existing debates.
Examination of these visual cultures raises a number of questions in the field of postcolonial studies: To what extent is the field dominated by an orientation towards westernized modes of representation? What are the potential implications of moving towards an increasingly globalized perspective? In what ways do visual cultures allow for new forms of engagement with postcolonial study? How is our understanding of postcolonial cultures enriched through the study of these visual cultures? Can we speak of an ethics, or a politics, of visuality?
The workshop seeks to explore the central importance of visual cultures in postcolonial societies, examining the role different visual media play in the following possible areas (this list is far from exhaustive):
• Expressions of identity
• Forms of resistance
• Political ideology
• Relationship to the métropole
• Minority groups
• Traditional heritage
• Interactions of the local and the global
• Innovative forms of visuality
• Transnational visualities
Papers are welcome on all aspects of visual culture, including narrative or experimental film, television, documentary, photography, word and image, paintings, sculpture, bandes dessinées, fashion.
Please send abstracts of 250 words, plus 50-100 words of bio-bibliography, as a Word document to Catherine Gilbert at afxcg@nottingham.ac.uk. Papers can be in either French or English.
The deadline for receipt of abstracts is Friday, 29 June 2012
Organising committee:
Catherine Gilbert (University of Nottingham), Maria Flood (University of Cambridge)
1.2 Les traumatismes de l’Empire. Expressions, effets et usages des violences (post)coloniales.
Montpellier, MSH-M, 6 – 7 décembre 2012.
Les recherches sur les dynamiques impériales permettent, depuis quelques années, de renouveler l’appréhension des questions coloniales et postcoloniales (Cooper 2005). Elles engagent en effet à s’affranchir d’une histoire strictement nationale pour mieux approcher la dynamique des sociétés et des groupes en déplacement, et incitent à approcher les politiques d’États en rendant mieux compte de l’espace de négociation qui les anime dans leurs relations avec les populations placées sous domination coloniale et postcoloniale. L’usage de la notion d’Empire permet ainsi de ne verser ni dans la vision unilatéralement « par le bas » des subaltern studies, ni dans la vision parfois trop textualisée ou trop centrée sur les seules représentations et imaginaires des « études postcoloniales ». Elle invite à penser le contact des populations de manière symétrique et à le situer dans leur espace social de pratiques. Elle invite également à repenser le lien métropole-colonie et à rompre avec l’idée souvent inconsciente d’un « âge zéro » de l’histoire correspondant à la conquête ou la gestion coloniales, en prenant également en considération les dynamiques sociales antérieures à la colonisation (Bertrand 2011).
Le colloque souhaite réunir des communications qui, à partir des attendus de la problématique impériale, feront travailler la notion de traumatisme, dont D. Fassin et R. Rechtman ont retracé la généalogie (2006). A rebours des discours convenus sur les non-dits et les tabous du fait colonial dans la France du 21e du siècle, il s’agira d’abord de constater la profusion des paroles et des écrits qui caractérise notre époque, au risque des raccourcis et des amalgames. Il s’agira ensuite d’interroger l’historicité propre aux situations coloniales et postcoloniales : les terrains peuvent porter sur les situations coloniales, voire pré-coloniales si les sources le permettent, comme sur les situations postérieures à la colonisation. Il s’agira enfin de poser à nouveaux frais la question du déploiement, des usages et des effets de la violence en situation coloniale et/ou postérieure à l’occupation coloniale, sans réduire pour autant cette situation à l’exercice de la violence. Une difficulté évidente réside dans les usages concurrentiels du terme même de « traumatisme », appliqué indifféremment à des individus et à des collectifs, à propos de situations de violences loin d’être commensurables en elles-mêmes (des violences physiques attestées à la violence symbolique la plus désincarnée) et dans leur historicité (de la mémoire pluriséculaire de la colonisation aux chocs les plus immédiats des violences de guerre, le moment de manifestation du traumatisme étant un enjeu central des débats). Trois entrées seront privilégiées pour sélectionner les propositions de travaux empiriquement fondés.
– La première consiste à interroger le terrain en faisant travailler la notion de traumatisme dans son acception récente, qui consiste à mettre fin au soupçon à l’égard des victimes de violence ou des individus souffrants en déplaçant l’attention sur les situations vécues plutôt que sur les caractéristiques individuelles. Il s’agit de contrôler l’anachronisme en examinant les modes de (dis)qualification des situations qu’on qualifierait aujourd’hui de traumatiques, les conditions d’impossibilité de la prise en compte des victimes de violence comme telles, les moments de basculement dans la condition de victimes ou d’extension du domaine des victimes.
– La deuxième entrée met l’accent sur les savoirs et leurs usages, sur les mises en traumatisme savantes, indigènes et/ou « profanes » et s’attache à saisir les usages politiques qui en sont faits. Elle accorde, au-delà des catégories de discours, la primauté de l’attention socio-historique à l’examen
des pratiques.
– La troisième entrée vise la mise en critique des instrumentalisations mémorielles dans nos sociétés, dont C. Charle (2001) a montré qu’elles n’ont sans doute jamais été aussi « impériales » qu’aujourd’hui. L’analyse porte alors sur la construction sociale et historique de groupes de victimes, la production de frontières entre les groupes (comme bourreaux/victimes/témoins), la modification des représentations légitimes (quand les bourreaux deviennent aussi des victimes), les formes de la politisation de ces luttes de qualification.
Envoi des propositions à : traumatismesempirecolloque@gmail.com
Date limite de proposition : 15 mai 2012
Sélection des propositions : 15 juin 2012
Responsables : Sylvain BERTSCHY (Montpellier 3), François BUTON (CNRS-CEPEL), Éric SORIANO (Montpellier 3)
Comité scientifique : Alban BENSA (EHESS-IRIS), Romain BERTRAND (CERI-Sc Po), Jean-Michel
GANTEAU (Montpellier 3), Sylvain LAURENS (Limoges), Isabelle MERLE (CNRS-IRIS), Paul PANDOLFI
(MSH-M), Laure PITTI (Paris 8), Richard RECHTMAN (EHESS-IRIS), Frédéric ROUSSEAU (Montpellier
3), Emmanuelle SAADA (Columbia), Éric SAVARESE (Nice-CEPEL).
1.3 Rencontre nationale des jeunes chercheurs en études africaines
11 et 12 janvier 2013 – Paris
Présentation
Les 11 et 12 janvier 2013 se tiendra à Paris la première rencontre nationale des jeunes chercheurEs en études africaines. Cette rencontre entend stimuler et renforcer les échanges entre jeunes chercheurEs (doctorantEs, jeunes docteurEs, post-doctorantEs) en sciences
humaines et sociales qui n’ont pas suffisamment l’opportunité de se rencontrer au-delà des traditions intellectuelles ou clivages disciplinaires, géographiques et institutionnels. L’occasion est donnée de lutter contre les segmentations disciplinaires et l’insularité des doctorantEs – notamment ceux rattachés à des laboratoires non spécialisés en études africaines ou aires régionales – qui partagent des intérêts communs car investis sur des terrains africains. Il s’agit notamment ici de participer au décloisonnement des travaux entre Afrique subsaharienne et Afrique du Nord en favorisant le croisement des problématiques. Cette rencontre souhaite ainsi produire un état des lieux des recherches menées en France par
les jeunes chercheurEs travaillant sur les Afriques sans exclusive (Afrique Sub-saharienne, Maghreb, Lybie, Egypte, Madagascar). En offrant un espace au débat scientifique, les jeunes chercheurEs pourront présenter, discuter et confronter leurs travaux. Un espace-thèse leur sera réservé (cahier des thèses en cours ou soutenues et posters seront exposés).
Cette rencontre est aussi l’occasion de réfléchir à la place des travaux sur les mondes africains dans le champ de la recherche conformément à une volonté de décloisonnement, en rappelant les apports empiriques et théoriques de ces recherches peu diffusées en dehors de leur cercle de production. La réflexion entend également aborder la question des conditions matérielles de réalisation des recherches doctorales (offre de contrats doctoraux, difficulté d’accès au terrain en raison des interdits sécuritaires, poursuite du cursus universitaire pour les étudiants non-communautaires).
Les propositions de communication peuvent s’inscrire dans l’un des 4 axes identifiés ci dessous. Néanmoins, la formule retenue étant celle d’un état des lieux, toute proposition
de communication dont l’objet porte sur un terrain ou problématique liés au continent
africain peut être soumise.
Axe 1. Modes d’appartenance africains à la globalisation
Cet axe accueillera les communications mettant en avant les dynamiques transnationales, passées et contemporaines, les réseaux (politiques, économiques, culturels, religieux) et leurs acteurs (migrants et diasporas, élites internationales, cadets sociaux) en s’attachant aux phénomènes d’invention, d’appropriation et/ou d’hybridation. Il s’agit de s’intéresser aux différents modes africains d’inscription dans la globalisation : processus d’extraversion, circulation et diffusion d’idées, de normes et modèles – que ce soit par le biais de réformes,
de transferts de politiques publiques promues par les institutions internationales ou de l’aide au développement – styles de vie et modes de consommation, extension des flux financiers et des échanges économiques. Toutefois, les connexions du continent avec l’extérieur n’étant pas propres à la période contemporaine, elles seront aussi envisagées pour des périodes plus anciennes.
Axe 2. État, économie et société
Seront mis ici en valeur les travaux portant sur les dynamiques et les mutations internes aux sociétés africaines qui révèlent les processus multiples et parfois paradoxaux de formation de l’État, des élites, des citoyennetés et autres formes d’appartenances politiques. Cet axe
invite à traiter des idéologies, des pratiques de pouvoir et des règles de l’arène politique, des économies morales et politiques, des représentations et des idéologies (nationalismes, socialismes, panafricanisme, panarabisme). Il s’agira aussi de s’intéresser aux logiques de consentement, de résistance ou de contestation – qu’elles soient politiques, sociales ou religieuses, ainsi qu’aux registres de mobilisation et répertoires d’action. Les pratiques et les processus de censure, de répression ou de contre-révolution qui y sont liés ne devront pas être oubliés.
Axe 3. Cultures et patrimoines
En envisageant les productions culturelles comme des constructions socio-historiques, loin du culturalisme et de l’essentialisme, cet axe s’intéressera aux créations artistiques – musicales,
cinématographiques, théâtrales, littéraires, photographiques, architecturales, culinaires, artisanales, etc. – qui donnent à penser le passé et le présent du continent. Ces mobilisations de la culture, qu’elles soient étatiques, élitistes ou populaires, permettent de comprendre comment se construisent et se transforment les imaginaires sociaux. De plus, ces réalisations culturelles véhiculent bien souvent des enjeux mémoriels, attachés à certains lieux et/ou à certains événements. Ces derniers permettent d’engager une réflexion sur la notion de patrimonialisation, qu’elle soit naturelle, matérielle ou immatérielle. Sont donc attendues des communications traitant des formes d’investissement mémoriel, de leurs architectures concrètes et des enjeux sociopolitiques, économiques, philosophiques ou autres, concernés.
Axe 4. Disciplines et terrains : enjeux épistémologiques
Face à un discours public niant l’historicité du continent, il convient de s’interroger sur les constructions/reconstructions des savoirs relatifs au continent africain et sur leurs implications scientifiques et politiques. Les travaux questionnant le sens des découpages chronologiques (séquences précoloniale, coloniale et postcoloniale accordant une place primordiale à la colonisation décalque des périodes historiques occidentales), des découpages
géographiques et linguistiques hérités de la colonisation (espaces anglophone, francophone et lusophone) et souvent attribués a priori à nos objets de recherche seront les bienvenus. Dans cette même veine, sont attendues des communications apportant une réflexion sur les frontières académiques, en particulier sur les questions de la légitimité/banalité des terrains africains et des découpages disciplinaires qui structurent le champ de la recherche, contribuant ainsi à un réexamen de certaines théories des sciences sociales à la lumière de nos travaux. Enfin, un dernier volet pourra être consacré à la réflexivité et aux multiples questions posées par la position du chercheurE vis-à-vis de son objet de recherche.
Modalités de soumission
Toute proposition de communication d’au maximum 500 mots doit être adressée avant le 30 juin 2012 à l’adresse suivante :
jcea2013@gmail.com
L’acceptation sera notifiée aux communicantEs le 15 septembre 2012. Les textes définitifs des communications devront parvenir au comité d’organisation le 15 décembre 2012.
Calls for contribution
1.1 Proposed book title: Studies in African Autobiography
African autobiography has no doubt developed over the decades as a distinct literary tradition that deals in and with personal, communal as well as national histories and aspirations, cultural and religious values among other issues. As a genre of African literature, it has usually been studied as an appendage to other genres, such that while prose, poetry, and drama have books, journal issues, and conferences dedicated to them, African autobiography has to its credit mainly regional or gender-based critical works. So far, in the history of the genre, James Olney’s Tell me Africa (1973) and the special issue of Research in African Literatures (1997) edited by Patricia Geesey are two of the few boldest evidences of a continental critical inquiry into it. This book intends to provide a collection of essays which cover most aspects of African autobiography.
We seek critical essays that focus on areas which include (but not limited to):
Theories of African autobiography
Sub-genres such as memoir, diary, curriculum vitae, medical autobiographical writing
African autobiography and the electronic media
African autobiography and politics
Religion and African autobiography
Gender and African autobiography
We encourage chapter contributions that cross genres and also those that engage contemporary issues.
Deadline for submission is 31 August 2012.
Minimum of 5,000 words and maximum of 8,000 words, Times new Roman, double spaced
Submit to
fohunsu@oauife.edu.ng or oyinhunsu@yahoo.com
New titles
3.1 Passages et ancrages en France
Dictionnaire des écrivains migrants de langue française (1981-2011)
Sous la direction d’Ursula Mathis-Moser et Birgit Mertz-Baumgartner
En collaboration avec Charles Bonn, Jacques Chevrier, Dominique Combe, Paul Dirkx,
Susanne Gehrmann, Pierre Halen et Julia Pröll
Paris : Champion, coll. Dictionnaires, n°23, n°23. 1 vol., 968 p., relié, 15,5 x 23,5 cm. ISBN 978-2-7453-2400-9.
Le présent ouvrage rend compte des phénomènes de la mondialisation et de la migration qui marquent l’époque actuelle et influencent profondément le champ littéraire français. Y sont répertoriés 300 « écrivains migrants », nés en dehors du territoire français, mais vivant et publiant en France. Chaque entrée se compose d’une notice biographique, d’une analyse thématique développant l’impact de la migrance sur la créativité de l’écrivain, et d’une
section bibliographique. Ont collaboré à ce projet neuf coordinateurs scientifiques : Charles Bonn (Université Lumière Lyon II), Jacques Chevrier (Université Paris-Sorbonne Paris IV), Dominique Combe (ENS Paris), Paul Dirkx (Université Nancy II), Susanne Gehrmann (Humboldt Universität zu Berlin), Pierre Halen (Université Paul Verlaine-Metz) et Julia Pröll
(Leopold-Franzens-Universität Innsbruck).
3.2 Mohammed-Salah Zeliche, Mohammed Dib. L’Homme épris de lumière – Evolution créatrice et dynamique de libération du moi
Paris : L’Harmattan, coll. “Cirtiques littéraires”, 2012.
336 p.
EAN 9782296569812
33,50 EUR
Présentation de l’éditeur :
L’auteur s’emploie à décrypter l’univers labyrinthique de Dib. Cet essai pose La Grande maison comme la pierre angulaire de l’ascencion spirituelle et artistique de Dib. Celui-ci y fait oeuvre de révolution, mettant d’entrée de jeu à l’ordre du jour la création, l’engagement et l’émancipation. Son oeuvre ultérieure a continué sur la même lancée d’indépendance. Cela, alors même qu’elle tend vers l’individualisation et nourrit moult ambitions stylistiques.
Mohammed-Salah Zeliche est titulaire d’un doctorat (Littérature générale et comparée) obtenu en Sorbonne Nouvelle. Il est l’auteur de nombreux articles et a enseigné longtemps le français langue étrangère. Il a publié en 2005, chez Karthala, L’Ecriture de Rachid Boudjedra. Poét(h)ique des deux rives.
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4.1 BnF Atelier du livre : “Le Livre en Afrique francophone”
Le 15 mai 2012. La thématique de la journée est, cette fois-ci, “Le Livre en Afrique francophone”.
Quelle place occupe le livre dans la vie culturelle et économique de l’Afrique subsaharienne ? Si ce continent compte de nombreux écrivains majeurs, ceux-ci sont souvent édités à l’étranger.
Avec 1,4% de la production éditoriale mondiale, pour 14% de la population, le secteur du livre peine à y prendre son essor. Pourtant, la demande est énorme. Faiblesse du taux d’alphabétisation, prix du livre, carence de politique du livre au niveau étatique, multilinguisme et concurrence des éditeurs étrangers expliquent peut-être cette relative faiblesse. Dans les années 1990, toutefois, de nouvelles librairies et maisons d’éditions ont commencé à renouveler la production et à professionnaliser le secteur, dans le domaine de la littérature de jeunesse, notamment.
Cette journée d’étude se propose d’étudier l’histoire, les spécificités, la diversité du monde du livre et de l’écrit en Afrique subsaharienne. Elle souhaite également y présenter la situation complexe du marché du livre, son avenir, ses enjeux, ses succès, qu’éditeurs, spécialistes du livre et écrivains s’attacheront à évoquer.
Vous trouverez le détail du programme et toutes les informations pratiques dans l’agenda culturel de la BnF, sous ce lien :
http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/anx_auditoriums/f.ateliers_livre.html?seance=1223907572246
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