calls for papers, monthly mailing, new titles, news

SFPS Monthly Mailing: October 2013

29th September 2013

CFP:

1.1   Colloque international du Festival des arts sacrés des savanes. Korhogo.

1.2   “Early European Caribbeana.” London.

1.3   Écrire et publier en Afrique francophone. Pietermaritzburg.

1.4   AFSSA: Confluences. Rencontres transocéaniques. Cape Town.

1.5   Session Cities and Overseas Migration in the Long
Nineteenth Century. Lisbon.

Calls for contribution:

2.1 “Food and the French Empire.” French Cultural Studies.

2.2 Islands and borders in the new European migratory system / Iles et frontières dans le nouveau système migratoire européen. L’Espace Politique .

2.3 “Comparative Literature/Studies in the Global Age.” Les Cahiers Ivoiriens d’Etudes Comparees (CIEC) / Ivorian Journal of Comparative Studies (IJCS)

New titles:

3.1 V. Y. Mudimbe: Undisciplined Africanism

Other events/news:

4.1 SFPS: Francophone Postcolonial Studies and Book Culture. London.

4.2 Fanon in Context. Leeds.

4.3 Arts & Diaspora congolaise en Belgique : Imaginaires et relations postcoloniales. Bruxelles.

4.4 The Place of Memory in Diasporic Cultures. Caen.

4.5 Écrire entre les langues /écrire en langues. Paris.

 

Calls for papers

1.1 Colloque international du Festival des arts sacrés des savanes

Korhogo (Côte d’Ivoire), les 30 et 31 octobre 2013

Thème : « Patrimoine culturel sacré et Renaissance ivoirienne »

Saurions-nous exister encore sans nos masques, sans nos danses, sans nos instruments de musique, sans les chants sacrés de nos traditions, en somme sans nos croyances ? Si les rituels de nos us et coutumes, rythmés par les fêtes de générations en pays Ébrié ou Alladjan, accompagnent encore nos démarches sociales, n’est-ce pas l’occasion de fonder une réflexion pour en comprendre le bien-fondé ? Serons-nous nous-mêmes sans l’Adjanou de Sakassou ou le Goli de Béoumi ? Qu’allons-nous devenir sans l’initiation au Tchologo de Ferké, au Poro de Korhogo, au Ngoron de Boundiali ? Que signifie danser au rythme de l’Attouglan, du thématé, du Zaouli, du Zagrobi ou du Balafon ? Sans nul doute l’attachement à nos racines, à notre patrimoine culturel comme source et ressource de notre créativité, de notre inventivité et de notre devenir est l’un des meilleurs investissements pour se préserver des intempéries existentielles !

Et pourtant la relation entre le cultuel et le culturel est devenue si problématique, confligène et polémogène pour notre modernité, qu’elle semble s’être métastasée, au point de menacer les fondements mêmes de nos sociétés. Le sacré est profané et le profane se sacralise paradoxalement comme aspiration cosmique. Prises en tenailles par une gémellité mortifère, une sécularisation excessive et irréversible qui les évide, et une religiosité identitaire et fondamentaliste, les sociétés humaines semblent en perte de vitesse programmée. Or, paradoxalement aux fondements de toutes les civilisations humaines, il y a pourtant des mythologies fondatrices qui en constituent l’épine dorsale. Dans ce face à face mortel, les patrimoines culturel et sacré semblent se nier. Ce duel, en même temps qu’il semble être le signe crépusculaire que l’ère des pleureuses bétés a sonné, scellant à jamais le deuil des cultures africaines, n’est-il pas une manière critique de s’éveiller à soi ?

Sans aucun doute, nous ressentons encore le besoin occasionnel de nous référer à nos ressources culturelles et à nos chants sacrés, pour sonder les signes de l’inconnu, parce que sans ces sources nous ne sommes presque pas. C’est pourquoi ce colloque se propose de questionner les multiples expressions du patrimoine culturel senoufo et de revisiter les héritages sous l’angle des productions artistiques, artisanales et des multiples formes d’expression du sacré, dans les régions du Tchologo, du Poro et de la Bagoué. Il importe désormais de répertorier, de valoriser et de sauvegarder le patrimoine culturel sacré, c’est-à-dire de l’entendre, l’interroger et le vulgariser. Pour ce faire, il devient urgent de produire un questionnement lucide et informé, capable d’inventorier et d’identifier les produits culturels sous l’angle des activités artistiques et artisanales, et de mettre en évidence, par ce fait, les potentialités culturelles du sacré dans la perspective d’un développement endogène au sein des régions de la Bagoué du Tchologo, du Poro.

Le colloque reprendra en charge ces inquiétudes théoriques, en les reformulant, en les prolongeant et en les amplifiant à travers les axes de réflexion suivants :

1-Artisanat, marché, patrimoine culturel et développement ;

2-Art sacré, renaissance et réconciliation ;

3-Sociétés sacrées, initiation, interculturalité et modernité ;

4-Société, esthétique et politique culturelle ;

5-Cultures africaines, religions révélées et renouveau spirituel.

Modalités de soumission

Ce colloque s’adresse aux universitaires, chercheurs, intellectuels, hommes et femmes de cultures intéressés par la réflexion participative sur le patrimoine culturel sacré dans le district des savanes (Côte d’Ivoire), précisément dans les régions de la Bagoué, du Tchologo et du Poro.

Mais au-delà de cette sphère géographique, les contributeurs sont surtout appelés à éclairer le concept de sacré en rapport avec la Renaissance de la Côte d’Ivoire dans tout l’éventail des valeurs culturelles sénoufo, au-delà de toutes frontières de disciplines et /ou d’écoles.

Les exposés seront faits en français. Ils auront une durée de 10à 15 minutes maximum, et devront inciter, autant que possible, à la discussion par leur clarté, pertinence et concision.

Les propositions de communication, un exposé de 5000 mots maximum, accompagnées d’un court CV (Biographie scientifique), devront être adressées, au plus tard le 11 octobre 2013, à l’adresse électronique suivante :colloquefassa2013@gmail.com

1.2 “Early European Caribbeana”
The Third Symposium of the Early Caribbean Society
20-22 July, 2014, at Kingston University, London, England

Following on the successful symposiums of the Early Caribbean Society (ECS) held in Barbados in 2011 and Puerto Rico in 2012, the ECS will host its third symposium in London, England to promote the study of early Caribbean literary history. The symposium will take place immediately following the Society of Early Americanists conference on “London and the Americas, 1492-1812,” which will be held in London on July 17-19, 2014. Attendees can sign up for the SEA conference, the ECS symposium, or both events through one registration process.

The SEA conference and the ECS symposium will take place on Kingston University’s campus in South West London, a 25-minute train ride from central London and a short bus ride from Heathrow Airport. Housing options will include university dormitories as well as a diverse array of local hotels. Plans for outings are in the works.

Proposals are invited for 20 minute papers that address any aspect of early Caribbean literature, culture, or literary history. Given the location of the third symposium, we particularly seek papers that consider Atlantic networks, currents, and influences.  Papers might address the movement of people, ideas, and commodities around the Atlantic and the Caribbean, the material and ideological impacts of European colonization in the Caribbean, and/or the literary construction of the West Indies.  Papers might also consider how actual and imagined experiences in the West Indies transformed cultural practices, habits of consumption, and scientific, religious, and/or philosophical discourses in Europe.

Please submit proposals for 20-minute papers. Proposals should include your name, your academic affiliation, the title of your proposed paper, and an abstract of no more than 250 words. All proposals must be received by the revised deadline of October 18, 2013. Please send proposals to:

Tom Krise
Pacific Lutheran University
President’s Office
12180 Park Ave South
Tacoma, WA 98447 USA
krisetw@hotmail.com

1.3 Écrire et publier en Afrique francophone

Enjeux et perspectives

Colloque international

University of KwaZulu-Natal, Pietermaritzburg, Afrique du Sud

17-19 mars 2014

Le monde littéraire africain francophone est marqué par un phénomène qui mérite la plus grande attention. Il s’agit de la multiplication de maisons éditions africaines installées sur le continent. Des maisons comme Odem (Les Éditions Odette MAGANGA) à Libreville, Afrédit à Yaoundé ou encoreJimsaan à Saint-Louis du Sénégal viennent prêter main forte à leurs ainées que sont, par exemple, Les éditions CLÉ, les Nouvelles éditions ivoiriennes (NEI) et les Nouvelles éditions africaines du Sénégal (NEAS). Parallèlement, on assiste à une émergence d’auteurs locaux au point que les maisons d’éditions sont submergées par le nombre de manuscrits reçus.

Ce phénomène témoigne de l’importance que prend l’Afrique continentale dans un champ littéraire africain jusque là expatrié : auteurs installés en Occident, publication dans les maisons parisiennes, public supposé être principalement occidental. De fait la littérature africaine qui se réalisait essentiellement à l’extérieur s’installe de plus en plus sur le continent.

Ce colloque invite à prendre acte de ce processus de relocalisation, à interroger les enjeux qui le motivent et mesurer les perspectives qu’il est susceptible d’ouvrir.

Les contributions pourront se pencher sur l’état des lieux de l’édition africaine et sur les politiques qu’elle adopte en vue d’être concurrentielle : partenariats entre maisons africaines et avec les maisons étrangères, édition numérique, vente par Internet, traductions, rééditions, organisation de rencontres littéraires, capacité à retenir les auteurs afin de ne pas servir de simple tremplin vers l’édition occidentale…

Elles pourront, en outre, se demander dans quelle mesure le développement d’une littérature continentale est susceptible ou non de transformer les habitudes du lectorat africain. Ce dernier s’élargit-il ? Quels sont ses horizons d’attente et comment se manifestent-ils ?

Ce dernier point invite à poser la question de la nature des textes. Les auteurs locaux investissent-ils sensiblement les mêmes genres, styles et thématiques que ceux de la diaspora ? Les maisons africaines s’ouvrent-elles à des genres non canoniques comme le polar, la littérature de jeunesse, la littérature rose, la bande dessinée voire lapulp fiction ? De nouveaux genres apparaissent-ils ? À un autre niveau, les publications dans les langues africaines se développent-elles ?

Il s’agira également de ne pas perdre de vue le fait que cette émergence des auteurs locaux intervient dans un contextemarqué, d’une part, par l’autonomisation du champ littéraire africain et, d’autre part, par lamondialisation, la pensée postcoloniale et les logiques transcontinentales. À cet égard, il peut être intéressant de se demander si la nouvelle donne n’est pas de nature à transformer en profondeur les logiques du champ littéraire et les modalités de son autonomisation. En l’occurrence, comment les auteurs locaux se positionnent-ils ? Quelles stratégies de légitimation et de visibilité adoptent-ils ? Adhèrent-ils aux principes de la littérature-monde, aux rhétoriques de l’hybridité ? Jouent-ils la carte du local voire de l’authenticité en vue de se démarquer et de sortir de l’ombre des géants que sont, par exemple, Alain Mabanckou et Abdourahman A. Waberi. À l’inverse, dans quelle mesure ce phénomène informe-t-il les postures de ces derniers ? On pense par exemple aux retours réels (Tierno Monénembo) ou symboliques (Alain Mabanckou à travers la publication deDemain j’aurais vingt ans et de Lumières de Pointe-Noire et de la coprésidence du festival Étonnants voyageurs à Brazzaville) sur le continent.

Ces quelques pistes sont, bien entendu, loin d’être exhaustives tant ce phénomène est susceptible de remodeler à différents niveaux les visages de la littérature africaine francophone.

Le colloque est organisé par le French Department de l’University of KwaZulu-Natal, campus de Pietermaritzburg en partenariat avec le CALS (Centre for African Literary Studies), the University of KwaZulu-Natal Press, l’AFSSA (Association for Francophone Studies in Southern Africa) et le festivalTime of the Writer. Une sélection d’articles sera publiée dans un numéro spécial de la revue de l’AFSSA,French Studies in Southern Africa.

Organisateurs :

Abdoulaye Imorou

Philip Awezaye

Comité d’organisation :

Abdoulaye Imorou

Bernard De Meyer

Philip Awezaye

Orphée Goré

David Olatunde Fiki-George

Dates limites

Les propositions (titre provisoire accompagné d’un résumé d’une dizaine de lignes) sont à envoyer avant le 31 octobre 2013 à Abdoulaye Imorou (Imorou@ukzn.ac.za). Elles seront examinées avant le 15 novembre.

1.4 Colloque de l’AFSSA 2014

Association for French Studies in Southern Africa

Lundi 1 septembre – Mercredi 3 septembre 2014

University of Cape Town (UCT)

Afrique du Sud

Appel à contributions (date limite : 30 novembre 2013)

Confluences. Rencontres transocéaniques

L’une des tendances mondiales qui s’affirme aujourd’hui consiste à privilégier les relations latérales plutôt qu’à chercher de se projeter encore sur un axe Nord-Sud historiquement chargé de significations alourdies. Des pays aux économies émergentes se rallient sans plus passer par le vieux centre, renouant ainsi avec d’anciennes pratiques qui ne passaient pas par l’Europe, mais reliaient entre eux les territoires de la zone océano-indienne ou ceux de la mer caribéenne. Mais c’est peut-être dans le domaine des collages interculturels et des interférences artistiques que la plus grande fluidité se laisse repérer dans de tels échanges. Depuis plusieurs décennies un dialogue d’inégal à inégal se développe ainsi, fait d’anciennes migrations, de transports forcés et de dérives plus récentes, entre les Amériques et l’Océan indien, sur un axe dont l’Afrique serait le foyer diasporique et excentré. Prenant appui sur la légende selon laquelle à la pointe du Cap conflueraient l’Océan Indien et l’Atlantique Noir, ce colloque propose de détourner quelque peu notre attention des influences européennes en matière de langues et de littératures, afin de mieux suivre les flux et les reflux de courants plus profonds, et les transversales tremblantes qu’ils permettent d’enregistrer dans ce va-et-vient. Confluences incertaines, donc, plutôt qu’influences indéniables. Mais ce Cap est aussi celui des tempêtes : le doubler s’avère périlleux, et plus d’un voyageur a failli y échouer.

– D’un point de vue littéraire, nous invitons à multiplier les rapprochements immédiats entre territoires autrefois colonisés : comment relier l’insularité océano-indienne aux îles caribéennes, par exemple, sans nécessairement en passer encore par la France ? Peut-on faire l’économie du patrimoine littéraire français tout en choisissant de s’exprimer en français ? Ce français lui-même, pourtant soumis à toutes sortes de créolisations, est-il en mesure d’enregistrer toutes les variations du monde contemporain ? Prendrait ainsi fin, sur le plan symbolique, le voyage triangulaire, qui de l’Afrique menait aux mondes nouveaux par l’immonde, en passant par Nantes, La Rochelle ou Bordeaux. Tel auteur haïtien nous parle du Québec ; tel écrivain congolais évoque les Etats-Unis ; tel autre, mauricien, séjourne en Allemagne avant de s’en retourner en Inde. Et c’est à Macondo que fut couronnée la dernière reine de Madagascar. La mise en scène de la migritude n’aboutit pas fatalement à Barbès-Rochechouart.

– Du point de vue de l’enseignement du français langue-culture, les contributions pourront aborder chacun des pôles du triangle pédagogique et les relations qu’ils entretiennent. Elles porteront notamment sur la variété des publics apprenant le français au sein de l’axe Sud-Sud, leurs spécificités, leurs besoins et les cultures d’apprentissages qui les caractérisent. Elles s’intéresseront au profil des professeurs de français dans les pays-cibles, à leur formation, à leurs compétences, ainsi qu’à la question des cultures d’enseignement. En ce qui concerne la langue française comme objet d’enseignement/apprentissage, elles pourront se pencher tant sur les aspects sociolinguistiques, que langagiers et culturels, et notamment sur la place du français langue-culture dans le paysage plurilingue et pluriculturel des pays de la zone-cible, sur la question des variations langagières et culturelles, ainsi que sur leur intégration dans la classe de français. Une attention particulière, mais pas exclusive, sera donnée aux études mettant en relief la porosité des frontières entre les ensembles de la zone à l’étude.

Comité scientifique :

Jean-Louis Cornille, Vanessa Everson, Annabelle Marie (UCT), Catherine du Toit (US), Bernard De Meyer (UKZN), Jaco Alant (UKZN).

Site : http://www.afssa.net

Adressez vos propositions en 300 mots àjean-louis.cornille@uct.ac.za ou à annabelle.marie@uct.ac.za.

1.5 Session Cities and Overseas Migration in the Long
Nineteenth Century

12th Conference of the European Association for Urban History, Lisbon, 3-6
September, 2014

 

Session organizer(s):
Markian Prokopovych and Philipp Ther, University of Vienna

Transatlantic migration that encompassed the entire European continent in
the nineteenth century has attracted much scholarly attention in the
recent decades. However, while a large body of literature concentrated on
the history of European immigrants in North and South America after they
have landed there, much less research has been done on the history of
their, often prolonged and complex, routes within the continent before
they could board the ships that would eventually transport them to
America. Interesting work on their longer stays in the ports of departure
connected their history to the local municipal institutions and their
initiatives, as  well as other involved self-help, charitable, ethnic and
religious organisations. Much less work has been done on the other cities
en route. While some travelled from nearby ports, migrants from Eastern,
Southern and Northern Europe had to cross large parts of the continent
before embarkation overseas in Trieste, Marseille, Hamburg and
Bremerhaven, and many travelled further to Antwerp, Rotterdam, Liverpool,
Le Havre, Cherbourg, Nantes and other ports. Vienna, Berlin, Paris and
many other, smaller cities functioned as hubs in the railway and
information network, while the agents of shipping companies reached out to
the most remote locations and national governments constructed border
crossing stations that controlled the inflow of emigrants. Entire
industries that catered for the needs of the migrants, organised further
travel and attempted to control, encourage or restrict it, functioned
around ports, railway stations and border crossing points. In some cities
entire districts turned into spaces of transient living. This session will
explore the intricate mechanisms established within each locality that
enabled the process of Transatlantic migration last for decades, as well
as complex modes of interaction between the cities in sharing the know-how
and in borrowing ideas from each other.

Deadline for paper submissions: 15 October, 2014. Please upload your paper
to the EAUH website:
http://www.eauh2014.fcsh.unl.pt/index.php?conference=conference&schedConf=index&page=pages&op=view&path%5B%5D=7

Calls for contribution

2.1 “Food and the French Empire”

Special Issue of French Cultural Studies

(la version française suit)

This special issue, titled “Food and the French Empire,” encompasses the production, consumption and circulation of specific foodstuffs, cuisines, and recipes across the French colonial empire, from early colonization to post-immigration through multidisciplinary approaches, and with an emphasis on various geographical locales.

Focusing on the global history of French food and foodways (practices associated with food and eating) during colonization promotes an understanding of the role played by the food trade in the success and maintenance of empire. The cultivation of commodity food crops reshaped landscapes and affected land ownership. Foodstuff ranging from rice to wine, or brands such as Banania and Picon, became the empire’s most ubiquitous commodities. Their advertisement, distribution, and consumption contributed to French discussions and perceptions of the colonial enterprise.

This issue will explore how such exchanges shape the definition of imperial and national values. Food–as a material object of study, a symbol and a lens to explore social, political, cultural, and economic issues–generates a renewed understanding of the history of colonialism and its aftermath in its everyday, embodied manifestations. Indeed, when the theoretical lens accommodates for notions of mutual, if unequal, influence and co-production in the culinary realm, the focus on colonial culinary encounters and the changes they brought about provides a corrective to the dominant paradigm of the West locked in opposition to its others. Foodways offer a window to observe the porous boundaries between colonizers and colonized, in intimate domestic exchanges. A more complex image of the balance of power in the colonial exchange emerges, whereby the colonized are not robbed of all agency and colonial masters appear dependent on the natives for their sustenance. Furthermore, culinary exoticism with its promotion of a positive representation of the encounter with an ethnic, racialized, (post)colonial “Other” opens a rich field of inquiry into issues of authenticity, domination, ingestion and a channel to sort out societal anxieties about ethnic and racial identities, cultural influence and change.

Possible themes and subjects including, but not limited, to the following:

· The invention of French gastronomic cuisine and the assimilation of foreign dishes

· Sugar: production, consumption, representations

· Specific foodstuff and preparation: nuocmam, harissa, rhum, mint tea, rice, etc.

· Specific brands: Picon, Banania

· Fruits of empire and desserts

· Iconic French foodstuffs overseas

· Culinary creolizations

· Colonial cookbooks

· Wine and viticulture in Colonial North Africa and after Independence

· Halal meat in France

· Dietary restrictions under colonial rule

· Migrants’ food

· Representations of native and colonial food in literature and cinema

· Dialectics of disgust and appetite

· Cannibalism

To tackle issues such as:

· Food and power: how has food production and consumption helped to determine the global distribution and control of resources? Food as a link between the personal and the political

· Definitions of what constitutes a cuisine. How to read cookbooks and recipes?

· Reassess (post)colonial domination through the prism of everyday food consumption.

· Food production and consumption as an extension of colonial propaganda: making the empire palatable

· Food, nation, migration: eating the other/eating to become other; culinary tourism and colonialism; food and national/ethnic identity; acculturation and resistance through food, gastropolitics

· Culinary exoticism, authenticity and domestication; the trope of métissage in cuisine; fusion cuisine; gastro-ethnicity.

· The poetics and politics of food: magical food, the power of culinary discourses, recipes and cookbooks, food films.

· Critique and analysis of the “Food film”

· How to read and conceptualize the role of the non-visual senses in diasporic cinema and visual cultures.

This special issue of French Cultural Studies will gather up to eight articles of 5,000 to 7,000 words, in English and in French, from scholars working across the disciplines with a focus on French and Francophone studies. Please feel free to circulate this call for contributions.

Timeline: Proposals for articles can be submitted in French or in English to Sylvie Durmelat: durmelas@georgetown.edu. The proposal should be 500 words and should include the subject of your article, the main questions and the sources it will use. Please include a brief bibliography of five appropriate references, and attach a two-page curriculum vitae to your submission.

Deadline for proposals: September 30, 2013

Response by October 31, 2013

Full texts due by March 15, 2014

Appel à contributions : Numéro spécial de French Cultural Studies

“Food and the French Empire”

Ce numéro spécial consacré à l’alimentation pendant et après la période coloniale examine la production, la consommation et la circulation de denrées spécifiques, de cuisines et de recettes aussi bien dans l’empire colonial français, qu’au sein des diaspora postcoloniales et dans les métropoles, au travers d’approches multidisciplinaires.

La focalisation sur l’histoire globale de l’alimentation et des pratiques alimentaires pendant la période coloniale permet de mieux comprendre le rôle que le commerce agro-alimentaire a joué dans le maintien et la réussite de l’empire colonial français. La culture de denrées commerciales a refaçonné des paysages et modifié la propriété foncière. Des denrées comme le riz et le vin, des marques telles Banania et Picon sont devenues des produits de consommation coloniaux quotidiens. Leurs publicités, leur distribution et leur consommation ont contribué aux perceptions et aux discours sur l’entreprise coloniale.

Ce numéro spécial explore comment les échanges alimentaires contribuent à définir, incarner et véhiculer les notions de nation et d’empire. L’alimentation, qu’elle soit considérée comme matériau d’étude concret, symbole, ou bien comme prisme par lequel explorer les questions sociales, politiques, culturelles ou économiques, permet une approche renouvelée de l’histoire coloniale et de ses suites, dans ses incarnations quotidiennes. L’étude du domaine culinaire permet d’explorer en détail des phénomènes d’influence et de co-production qui, bien qu’inégaux, n’en restent pas moins mutuels. Les rencontres ou « encontres » (Rosello) culinaires coloniales et les changements qu’elles entrainent permettent de nuancer le paradigme d’un Occident diamétralement opposé à ses Autres. De fait, les pratiques alimentaires offrent une perspective supplémentaire pour observer la porosité des frontières entre colonisé/e et colonisateur/trice lors d’échanges dans le cadre intime de la domesticité. Une image plus complexe de l’équilibre et des relations de pouvoir dans ce qu’on peut appeler, malgré son inégalité fondatrice, l’échange colonial, émerge, montrant que le colonisé n’est pas privé de toute capacité d’action et que les maîtres coloniaux s’avèrent dépendre des autochtones pour leur subsistance. De plus, l’exotisme culinaire, avec sa promotion d’une représentation positive de la rencontre avec l’autre ethnique, (post)colonial, ou racialisé, ouvre un champ d’enquête fertile sur les questions d’authenticité, de domination, d’ingestion, d’assimilation, et une voie d’accès pour démêler les anxiétés sociales sur les identités raciales et ethniques, l’influence et les changements culturels.

Les thèmes et sujets d’études possibles comprennent, mais ne sont pas limités, aux suggestions suivantes :

. L’invention de la gastronomie française et l’assimilation des plats étrangers

. Le sucre : production, consommation, représentations

. Spécialités et denrées spécifiques : nuoc-mâm, harissa, rhum, riz, thé à la menthe, etc.

. Marques spécifiques : Picon, Banania, Orangina, etc.

. Fruits de l’empire et desserts

. Denrées françaises emblématiques outre-mer et à l’étranger

. Créolisations culinaires

. Livres de recette coloniaux

. Vin et viticulture au Maghreb colonial et après l’indépendance

. Commerce halal en France

. Interdictions et prescriptions alimentaires pendant et après la période coloniale

. Alimentations et migrations

. Représentations de l’alimentation des indigènes et des colons au cinéma et dans la littérature

. Dialectique du dégoût et de l’appétit

. Cannibalisme

Pour aborder des questions telles que:

. Alimentation et pouvoir : quels rôles la production et la consommation alimentaires jouent-elles dans la distribution et le contrôle globaux des ressources? Comment l’alimentation lie-t-elle le personnel et le politique.

. Comment définir une cuisine ? Comment analyser les livres de cuisine et les recettes ?

. Réexaminer la domination (post)coloniale à travers le prisme de la consommation alimentaire quotidienne.

. Production et consommation agro-alimentaires comme éléments de propagande coloniale pour rendre l’empire comestible/digeste. La consommation comme discours.

. Alimentation, nation, migration : manger l’ « autre »/manger pour devenir autre, tourisme culinaire et colonisation, pratiques alimentaires et identités nationales/ethniques, acculturation et résistance à travers l’alimentation, la « gastro-politique. »

. Exotismes culinaires, authenticité et domestications, le trope du métissage culinaire, la cuisine fusion, gastro-ethnicités.

. La poétique et la politique des pratiques alimentaires : nourritures magiques, le pouvoir des discours culinaires, le genre du livre de recettes et ses déclinaisons.

. Critique et analyse du genre du « food film »

. Comment lire et conceptualiser le rôle des sens non-visuels dans le cinéma diasporique et les arts et cultures visuelles.

Ce numéro spécial de French Cultural Studies rassemblera jusqu’à 8 articles de 5000 à 7000 mots, en anglais ou en français, par des chercheurs en sciences humaines et sociales qui se concentrent sur le monde francophone dans son ensemble. Merci de faire circuler cet appel à contributions.

Les propositions d’articles sont à envoyer en anglais ou en français à Sylvie Durmelat : durmelas@georgetown.edu. Les propositions, de 500 mots maximum, doivent inclure le sujet de votre article, les questions principales abordées et les sources utilisées. Prière d’inclure une brève bibliographie de 5 références et de joindre un CV de deux pages à votre soumission.

Dates :

-Date limite pour les propositions : 30 septembre 2013

-Réponse le 31 octobre 2013

-Textes complets à envoyer le 15 mars 2014

2.2 Islands and borders in the new European migratory system / Iles et frontières dans le nouveau système migratoire européen

Call for papers to be submitted to L’Espace Politique, online Political Geography and Geopolitics Journal, for publication in its 2014/2 issue (n°24).

Proposals of articles of up to 45,000 characters, with
footnotes, bibliography and illustrations included, (see layout) should be sent
by e-mail before December 31, 2013, to the two guest editors of this issue :

Nathalie Bernardie-Tahir, Geolab, Université de
Limoges, nathalie.bernardie-tahir@unilim.fr
Camille Schmoll, Géographie-cités, Université
Paris Diderot,  camilleschmoll@yahoo.fr

Prof. Stéphane Rosière
stephanerosiere@orange.fr

2.3 “Comparative Literature/Studies in the Global Age”

Les Cahiers Ivoiriens d’Etudes Comparees (CIEC) / Ivorian
Journal of Comparative Studies (IJCS)
is currently accepting submissions
for its upcoming inaugural edition.  The inaugural theme will be covering
the challenges and stakes of comparative literature/studies in Africa and
in the world.

Comparative literature/studies seek(s) to challenge this monolithic world
order for the coming of age of a cosmopolitan community where linguistic,
national and disciplinary barriers are less rigid.

CIEC/IJCS  invites papers addressing the topic of comparative literature,
its impact in our world at this stage of globalization where the hegemonic
powers that be seek to impose monolingualism and monoculturalism through
dominant cultures and the so-called international languages to the
detriment of other language cultures.

In celebration of comparative studies which seek to fight down walls
between world cultures and peoples, we invite papers in literature,
linguistics, cultural studies, translation, philosophy, among others,
dealing with the merits of intercultural exchange in the age of
globalization.

We welcome contributions dealing with but not limited necessarily to the
following topics:

Gender

Power

Critical Race Theory

Origins of Ideas, Texts, Genres and Movements

Literature as an Intercultural Bridge

Filmic Representations of Dominant/Minor Cultures

Immigration, Exile, Hybridity and Borderlands

History and Memory

Constructions and Performances of Identity

Translation Theory in Africa and around the World

Oral Traditions: Griotic Storytelling, Folktales, Urban/Street Poetry

*SUBMISSIONS*

Articles must be submitted in a Word format to the co-Editors. Articles (12
pages maximum) should be double-spaced including references and must
conform to the *CIEC/IJCS* guidelines for authors to be considered for
publication.

All submissions should include a cover sheet, not attached to the paper
that includes the author’s name, title of paper, contact information, major
field, graduate level, graduate institution and a brief (50 words or less)
biographical statement. No submission will be accepted that does not meet
these basic requirements.

*REVIEW PROCESS*

All submissions to *CIEC/IJCS* are subject to a peer-review process. The
papers will be evaluated for their sound scholarship and intellectual
contribution to comparative literature/studies. CIEC/IJCS does not publish
articles that have already been published or accepted for publication
elsewhere. All entries must be received by *October 31, 2013*. Please email
all submissions as well as any other queries that you may have to
ciecijcs@gmail.com or siendouk@gmail.com.

New Titles

3.1 V. Y. Mudimbe: Undisciplined Africanism

Pierre-Philippe Fraiture

• Elucidates the complex work of one of the most significant contemporary African thinkers, V. Y. Mudimbe

• A cutting edge, interdisciplinary book combining philosophy, postcolonial studies and African studies

• Mudimbe, currently Newman Ivey White Professor of Literature at Duke University, remains an influential critic

This important book charts the intellectual history of Valentin Yves Mudimbe, seminal Congolese thinker, epistemologist, and philologist, from the late 1960s to the present, exploring his major essays and novels. It traces his trajectory through major debates on African nationalism, Panafricanism, neo-colonialism, negritude, pedagogy, Christianisation, decolonisation, anthropology, postcolonial representations and the role of Antiquity in postcolonial scholarship. This exploration underscores, via close readings of his most influential texts (The Invention of Africa,Parables and Fables,Le BelImmonde) and lesser-known texts such asAutour de la ‘Nation’andOn AfricanFault Lines, the discursive strategies that Mudimbe has developed to recover, and recapture (reprendre), the epistemological basis underlying the ‘invention’ of past and present sub-Saharan Africa. The book demonstrates that Mudimbe’s intellectual career has been informed and enriched by a series of decisive and often antagonistic dialogues with some of the key exponents of Africanism (Herodotus, EW Blyden, Placide Tempels), continental and postcolonial thought (Jean-Paul Sartre, Frantz Fanon, Michel Foucault, and Claude Lévi-Strauss), and African thought and philosophy from Africa and the diaspora (L.S. Senghor, Patrice Nganang, and Achille Mbembe).

Contemporary France and Francophone Cultures, 29

256pp. 234 x 156 mm

HB ISBN: 9781846318948 • £70.00

September 2013

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Other events

4.1 Francophone Postcolonial Studies and Book Culture

Society for Francophone Postcolonial Studies

In association with Liverpool University Press

Friday 22 & Saturday 23 November 2013

Institute of Modern Languages Research, University of London,

Senate House, Malet Street, London WC1E 7HU

Registration for this event is now open. Please visit www.sfps.ac.uk for more details.

 

Friday, 22 November 2013

10.00-10.20 Registration

10.20-.10.30 Welcome

10.30-12.00 Panel 1: Book Prizes

· Megan MacDonald, ‘Death and Prizes: Moroccan Francophone Literary Cultures: Reading from the Outside In’

· Alessandra Benedicty, ‘Fetishizing Poverty? Contemporary ‘Postcolonial’ Prize-Winning Fiction in French: Ananda Devi and Dany Laferrière’

· Madeline Becarré, ‘Le Rôle de la francophonie comme institution culturelle’

12.00-2.00 Lunch/AGM

2.00-3.30 Panel 2: Parallel Sessions

Panel 2a: (Mis)Translation

· Marcella Frisani, ‘”A Literature with a New International Perspective”: Les Conditions sociales de circulation de la contemporary fiction “francophone” dans le marché britannique de la traduction’

· Caroline Williamson, ‘Disinterest, Mistranslation, Misrepresentation: Translator and Editorial Interventions in the Testimonies of Rwandan Genocide Survivors’

· Tobias Warner, ‘Mariama Bâ in Translation: World Literature and the Legibility of Feminist Critique in the English and Wolof Versions ofUne si longue lettre’

Panel 2b : National Book cultures

· Raphaël Thierry, ‘Situation de l’édition camerounaise au sein du marché global du livre’

· Ursula Gonthier, ‘Print and Power from Persia to Paris : Djavann rewrites Montesquieu’

· Faisal Sahbi and Mehdi Souiah, ‘La nouvelle littérature algérienne au miroir de la presse algérienne francophone : lectures dans les stratégies de subversion et de connivence’

3.30-4.00 Coffee/Tea

4.00-5.00 Panel 3: Parallel Sessions

Panel 3a: Books and the Internet

· Roxanna Curto, ‘The Internet Poetics of Patrick Chamoiseau and Edouard Glissant’

· Stella Cambrone-Lasnes, ‘La Re-présentation de l’espace francophone Caribéen à travers la promotion en ligne de romans antillais contemporains’

Panel 3b: Archives

· Patrick Corcoran, ‘Genetic Criticism and the Archive(s): RethinkingLes Soleils des Indépendances

· Lia Nicole Brozgal, ‘The October 17 Archives: Literary Scholarship, Historical Documents’

5.00-6.00 Plenary Session – Chair: Ruth Bush

Publishers’ Panel: Publishing Francophone African Literature in Translation

James Currey (James Currey Publishing)

Becky Nana Ayebia Clarke (Ayebia Clarke Publishing)

Pete Ayrton (Serpent’s Tail)

6.00-7.00 Vin d’Honneur

7.30 Dinner

Saturday, 23 November 2013

10.30-11.30 Panel 4: Parallel Sessions

Panel 4a: Paris Publishing

· Claire Ducournau, ‘Du Débrouillard à “Continents Noirs’: les editions Gallimard et les auteurs issus de l’Afrique subsaharienne francophone’

· Patrick Crowley, ‘Manifeste pour une Cité internationale de la littérature and the ghost of Bourdieu’

Panel 4b: Manuscripts

· Rachel Douglas, ‘Genetic Criticism à la postcoloniale?’

· Paul R. Davis, ‘Alpha Yaya Diarra and Arts Fra-Den le Soudan’

11.30-12.00 Coffee/Tea

12.00-1.00 Panel 5: Parallel Sessions

Panel 5a: Globalisation of the Book Industry

· Ines Bugert, ‘Strategies of Globalizing Maghrebian Authorship: Kebir Ammi and his Work, Apulé, mon éditrice et moi’

· Audrey Small, ‘“Works Written in French Should be Taken to be Published in Paris: Towards a Fair Trade in Francophone Literature’

Panel 5b: Languages and the Book

· Eugène Tavares, ‘Littératures Africaines : Les anthologies en question’

· Anne Ouallet and Soufian Al Karjousli : Lecture postcoloniale de l’islam et des confréries à partir et au-delà du « Livre »’

1.00-2.30 Lunch

2.30-3.30 Panel 6: Parallel Sessions

Panel 6a: Book Culture in Haiti

· Justin Izzo, ‘The Nation as Ethnographic Public: Jean Price-Mars’s Haiti (in Book Form)’

· Kate Hodgson, ‘The Cry of Freedom: Early Haitian Print Culture and Global Abolitionism’

Panel 6b: Paratexts

· Catherine Gilbert, ‘(Mis)Leading Paratexts? Framing Rwandan Women’s Testimonial Literature’

· Nicole Dunham, ‘A Book Within a Title; a Title Within a Book: Dany Laferrière’sJe suis un écrivain japonais

3.30-4.00 Tea/Coffee

4.00-5.00 Dorothy Blair Memorial Lecture- Chair: Nicki Hitchcott

Lydie Moudileno, ‘Building Our Post-Colonial Library’

5.00 Close of Conference

For any further questions please contact the Conference Secretary, Ruth Bush (sfpsconference2013@gmail.com).

4.2 Fanon in Context

A colloquium in celebration of David Macey (1949-2011)

University of Leeds

Friday 11 October 2013

Organisers: Prof. Russell Goulbourne and Prof. Max Silverman

Speakers: Dr Kathryn Batchelor, Prof. Bryan Cheyette, Dr Patrick Crowley, Dr Azzedine Haddour, Dr Jane Hiddleston, Dr Jean Khalfa, Prof. Neil Lazarus, Prof. David Murphy, Dr Matthieu Renault

In his introduction to Charles Lam Markmann’s English translation of Frantz Fanon’s Peau noire, masques blancs (Black Skin, White Masks, Pluto Press, 1986), Homi Bhabha memorably claimed that one of the most original and disturbing qualities of the work is that it rarely historicizes the colonial experience. It is this kind of dehistoricization that David Macey powerfully challenged in his eloquent and passionately written biography of Fanon, first published in 2000 (2nd ed., 2012) and translated into French in 2011. This colloquium – generously supported by the Modern Humanities Research Association – both celebrates David Macey’s singular contribution to Fanon studies and pursues the intellectual agenda which he persuasively established by setting Fanon’s work in rigorously researched contexts.

To register to attend – £20 waged/£10 unwaged, including refreshments – please go to http://tinyurl.com/fanonincontext. The deadline for registration is Monday 30 September.

For more information about the colloquium, go to http://fanonincontext.wordpress.com/.

The programme is as follows:

10.00-10.45: Registration

10.45-11.00: Opening remarks – Prof. Margaret Atack (University of Leeds)

11.00-12.15: Session 1 – Fanon’s Reading, Reading Fanon

Dr Jane Hiddleston (Exeter College, Oxford), ‘Fanon and the Uses of Literature’

Prof. Bryan Cheyette (University of Reading), ‘Fanon, Memmi and the Anxiety of Cosmopolitanism’

Dr Kathryn Batchelor (University of Nottingham), ‘De-philosophizing Translation: The Key to Success?’

12.15-14.00: Lunch

14.00-15.15: Session 2 – Fanon between Marxism and Psychiatry

Dr Azzedine Haddour (University College London), ‘Fanon’s Marxism and the Colonial Question’

Dr Matthieu Renault (Université Paris 7 Denis Diderot), ‘Fanon and Tran Duc Thao: The Making of French Anticolonialism’

Dr Jean Khalfa (Trinity College, Cambridge), ‘Fanon and Psychiatry’

15.15-15.45: Break

15.45-17.00: Session 3 – Fanon’s Futures

Dr Patrick Crowley (University of Cork), ‘Inoperative Fanon and That Which is to Come’

Prof. Neil Lazarus (University of Warwick), ‘Fanon and African Literary Intellectuals’

Prof. David Murphy (University of Stirling), ‘Success and Failure: Fanon as Prophet of Decolonization’

17.00-17.15: Closing remarks – Prof. Russell Goulbourne and Prof. Max Silverman (University of Leeds)

4.3 Arts & Diaspora congolaise en Belgique : Imaginaires et relations postcoloniales

11-12 Octobre 2013

Une collaboration de l’UCL, l’ULB, l’ULg et la Maison du Livre de Saint-Gilles

Ce colloque interrogera la postcolonialité de la Belgique à partir du champ artistique de la diaspora congolaise en faisant appel aux chercheurs, aux artistes et aux institutionnels. Il s’agira de réfléchir à la façon dont les rapports historiques entre Belges et Congolais se répercutent dans le champ de la création, de la promotion et la diffusion des artistes. Nous examinerons également la façon dont ce champ artistique s’est constitué et recomposé dans le temps ainsi que les processus d’hybridation à l’œuvre, à travers l’inscription des artistes dans différentes sphères artistiques. Nous chercherons aussi à savoir dans quelle mesure et de quelles façons ces expressions artistiques participent à la (dé)construction de la narration nationale et s’inscrivent ou non dans la continuité des imaginaires et des représentations de la Belgique au sein de la diaspora .

Le colloque combinera des panels de conférences, et des tables-rondes de discussion entre artistes, représentants institutionnels et personnes ressources.

  • Panel I: Diaspora congolaise en Belgique: Migrations et visibilité

Keynote: Antoine TSHITUNGU KONGOLO (Université de Lubumbashi, ITEM/CNRS), De la Bibliothèque coloniale à… Des outils pour explorer les imaginaires.

  • Panel 2: Imaginaires diasporiques et littérature: Ecritures de soi, écritures de l’autre

Keynote: Émilienne AKONGA EDUMBE (Université de Kinshasa), L’inscription de l’ailleurs postcolonial dans les champs littéraires belges et congolais.

  • Panel 3: Arts, cinema, photographie

Keynote: Lye YOKA MUDABA (Docteur en Lettres de Paris III, directeur général de l’Institut national des arts (INA) à Kinshasa), RDC: la culture de la mobilité et les nouvelles solidarités hors-frontière.

  • Table ronde 1: Discours hérités, mémoires conflictuelles

L’objectif de cette table-ronde est de scruter ce qui dans les échanges entre artistes et institutionnels se heurte au passé colonial. En termes de création et de promotion des oeuvres, les artistes se heurtent-ils à des discours ou représentations hérités des conceptions coloniales? La question mémorielle apparait comme un point de rupture fréquent. Nous souhaiterions donc identifier les points de conflit relatifs aux mémoires de la colonisation.

  • Table ronde 2: Quête d’autonomie

Depuis quelques années, on observe des dynamiques internes significatives d’une quête d’autonomie que nous souhaiterions rendre visible. Comment celle-ci s’est historiquement manifestée et recomposée? Les processus d’hybridité artistique en sont-ils la composante essentielle? Nous interrogerons aussi la façon dont ces initiatives mobilisent les espaces associatifs plus généraux de la diaspora et le public qu’elles parviennent ou souhaiteraient toucher.

  • Table ronde 3: Continuités et ruptures

Nous souhaitons dans cette table-ronde examiner les formes de continuité et de rupture qui organisent le champ artistique de la diaspora congolaise en Belgique, depuis son origine. Quelles sont les différentes étapes que nous pouvons identifier, les moments de transition? Quelles institutions favorisent le déploiement de ce champ ou le contraignent ? Enfin, quelles sont les différentes dynamiques (genrées, générationnelles, disciplinaires) internes à l’espace artistique de la diaspora.

Une soirée de clôture permettra aux artistes invités de présenter leur travail au public.

Invités d’honneur

In Koli Jean Bofane

Jean Bofane écrit depuis la Belgique où il s’est réfugié en 1991. Son ouvrage Mathématiques congolaises (prix Jean Muno 2008, Prix Littéraire SCAM (2009) et Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire (2009)) plonge le lecteur dans un Congo moderne mais en proie à deux démons: la Faim et la Corruption. Son ouvrage en préparation Congo Inc. dénonce l’emprise internationale sur le Congo et tente de mettre en fiction les massacres perpétrés au Rwanda.

Monique Mbeka Phoba

Cinéaste belgo-congolaise, Monique Phoba a étudié à l’Université libre de Bruxelles où elle a participé activement à Radio Campus et développé une passion pour le documentaire et le cinéma. En 1991, elle réalise Revue en vrac (26 min.), un regard sur la naissance de la presse indépendante et pluraliste au Congo. Suivront plusieurs documentaires qui ont toujours un lien avec l’Afrique : Rentrer ? (1993, 52 min.) ; Deux petits tours et puis s’en vont (1997 – sur les élections présidentielles au Bénin) ; Un rêve d’indépendance (1998, 53 min.) ;Sorcière, la vie (2004, 52 min.); Entre la coupe et l’élection (2007). Sonœuvre mêle petites histoires intimes à l’histoire sociale et politique de notre monde et particulièrement du Congo.

Antoine Tshitungu Kongolo

Docteur en littérature comparée (Lille III), Antoine Tshitungu Kongolo, a publié La présence belge dans les lettres congolaises : modèles culturels et littéraires (L’Harmattan, 2003). On lui doit plusieurs anthologies Dits de la nuit : anthologie de contes et légendes de l’Afrique centrale -Zaïre, Rwanda et Burundi (avec Véronique Iago, Labor, 1994) et Panorama de la poésie congolaise de langue française (Congo-Kinshasa) : poète ton silence est crime (L’Harmattan, 2003). Mais Antoine Tshitungu Kongolo est aussi poète, romancier et nouvelliste avec entre autres, Tanganyika Blues, Mon pays est absent, Fleurs dans la boue, Le sacrifice, Impressions d’Afrique.

Lieux et modalités pratiques

Le 11 et 12 Octobre 2013, à la Maison du Livre(24-28 rue de Rome – 1060 Saint-gilles) et au Centre culturel Jacques Franck (Chaussée de Waterloo 94 – 1060 Saint-gilles)

Plus d’informations:

http://grap.ulb.ac.be/arts-diaspora-congolaise-imaginaires-et-relations-postcoloniales/

4.4 The Place of Memory in Diasporic Cultures

MRSH (Maison de la Recherche et des Sciences Humaines)

Université de Caen Basse-Normandie CAMPUS 1

3-4 Octobre 2013

Thursday 3rd October

8.30h – 9.00h : Registration at the MRSH (Maison de la Recherche et des Sciences humaines),

Université de Caen, Campus 1

9h – 9h20 : Room 027 Salle des Actes :

Opening of the conference by Professor Anca Cristofovici, Director of the ERIBIA, University of Caen.

9h20- 11h45: Workshop 1.1 Room 027 Salle des Actes

Shaping collective identity through memory (India, Bangladesh).

Chair: Françoise Král

Jennifer Randall, Université Paris 8

‘Imagined communalisms : disseminating India’s ‘other’ post-colonial history through the diaspora.’

Antara Chatterjee, Calcutta, India

‘Remembering Bangladesh : Tahmima Anam and the Construction of a Bangladeshi national narrative.’

Florence Cabaret, Université de Rouen

‘Memories of the partition of India in Earth, 1947 by Deepa Mehta (1998)’

9h20- 11h45: Workshop.1.2 Room : 028 Salle des thèses

Poetics of oblivion, politics of remembrance.

Chair: Corinne Bigot

Hari R Adhikari, United International college, China

‘A battle against one’s own kinsmen : Chinese students’ reactions to ‘autoOrientalization in Maxine Hong

Kingston’s The Woman Warrior and Amy Tan’s The Joy Luck Club.

Lena Englund, Abo Akademi University

‘ “…..whether I like it or not, I am home” – Memory and transnationalism in Peter Godwin’s memoirs

Mukiwa and When a Crocodile Eats the Sun

Joanna Pasternak, Gdansk University

‘Anita Desai’s art of oblivion.’

11h45- 12h: coffee break

12h- 13h: Workshop 2.1 Room 027 Salle des actes

Diasporic Memory (India, Sri Lanka).

Chair : Delphine Munos

Sreekanth Kopuri, SriVenkateswara University

‘The diasporic home in the literary map of Agha Sahid Ali’s poetry.’

Sabine Lauret, Université de Versailles

‘Consuming memory : the oneiric past in Romesh Gunesekera’s The Sandglass and Heaven’s Edge’

12h-13h: Workshop 2.2 Room 028 Salle des thèses

Cooking up a History: official History, folk stories and culinary memories.

Chair : Janet Wilson

Virginia Sherman, Université de Grenoble III

‘In search of lost identity : re-discovering self and identity through culinary memoirs’

Sarah Knor, University of Northampton

‘Kala pani poetics : Indo-Caribbean memories’

13h-15h: Lunch Restaurant Universitaire B

15h- 16h: Room 027 Salle des actes

Keynote address by Jean-Jacques Lecercle, Professor Emeritus, Université Paris Ouest

Chair: Françoise Král.

‘The present is a foreign country : memory and nostalgia in Sam Selvon, The Lonely Londoners.

16h-16h30: Coffee Break

16h30- 18h: Workshop 3.1: Room 027 Salle des actes

Re-imaging the past, visual arts panel.

Chair: Héliane Ventura

Claudine Armand , English Department, Université de Lorraine, Nancy.

‘Re/membering, mis/membering : memory and diasporic experience in the multi-media practices of some contemporary native-American and African-American artists.’

Anca Cristofovici, Université de Caen Basse-Normandie

‘Pictures that make a difference : displacing photographic memory’

Hania A.M. Nashef, American University of Sharjah

‘Remembering and retelling the Palestinian story through film.’

16h30- 18h 30: Workshop 3.2 Reterritorializing/Re-gendering Memory. Salle des thèses

Chair : Florence Cabaret

Laura Singeot, Université de Caen Basse-Normandie

‘The reterritorialisation of memory in David Malouf’s Remembering Babylon

Letizia Alterno, Manchester University ‘Waves of histories and memories: Commonwealth pasts and futures

in Amitav Ghosh’s Sea of Poppies and Raja Rao’s The Serpent and the Rope and The Cat and Shakespeare.’

Egle Kackute, University of Vilnius

‘Memory, gender and linguistic amnesia.’

Delphine Munos, University of Liège.

‘Holocaust postmemory and the legacy of un-death in Nicole Krauss’s Great House.’

18 h30- 19h30: Drinks party at the MRSH

19h45: Conference dinner Café MANCEL (inside the Château de Caen, next to front entrance)

Friday 4th October

9h-10h30: Workshop 4.1: Room 027 Salle des actes

Irish and Scottish diasporas.

Chair : Armelle Parey

Pascale Guibert, Université de Caen Basse-Normandie

‘Displacement : memory and creation in Eamonn Wall’s poetry.’

Cathy Coussens, Ipek University, Ankara

‘Reconstructed Irish history and reuniting the diasporic self in Nuala O’ Faolain’s My Dream of You (2001)

9h-10h40:Workshop 4.2, Room 028 : Salle des thèses

Francophone diasporas.

Chair: Sam Coombes.

Mohamed Saki,University of West Brittany, Brest

‘Loss, belonging and un-belonging in The Road to Fez, by Ruth Knafo Setton.’

Isabella Archer, University of North Carolina at Chapel Hill

‘Fighting for a Frenchness denied : North African identity and memory in Rachid

Bouchareb’s Indigènes.’

Pamela Carralero, University of Edinburgh

‘Jean-Luc Raharimanana and the re-construction of memory through a poetics of bricolage.’

Mohar Dascchaudhuri, Visiting Fellow at the Department of French, University of Sheffield.‘Reconstructing memory : creation of a fantastic ‘third space’ in the writings of Ying Chen and Linda Le.

10h30-11h: Coffee break

11h-12h: Workshop 5.1 Room 027 Salle des actes

Black Atlantic diasporized memory.

Chair : Anca Cristofovici

Gwennaelle Cariou, Université Paris Diderot

‘Memorializing the diaspora : the example of African museums

Elaine Rocha, University of the West Indies, Barbados

‘Undesirable immigrants in the Brazilian racial democracy’

11h-12h: Workshop 5.2: Room 028 Salle des thèses

Recycling, rewriting, retelling memory

Chair : Janet Wilson

Rocco de Leo, University of Salerno

‘The Place one had been years ago.’ : memories of space in Michael Ondatjee’s Running in the Family.’

Marcia Carlson, University of Antwerp. ‘Conflicting memories of the parentland : Danticat’s The Dew

Breaker and Chancy’s Spirit of Haiti.’

12.30-14h: lunch Restaurant Universitaire B

14h-15h: Workshop 6.1. Room 027 Salle des actes

Scottish-Canadian Atlantic in the work of Alice Munro.

Chair: Corinne Bigot

Christine Lorre-Johnston, Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle

‘Alice Munro as writer of the Scottish diaspora in Canada.’

Héliane Ventura, Université Toulouse Le Mirail

‘Bardic memory : recycling Norse sagas and celtic minstrelsy in Alice Munro’s stories.’

14h-15h: Workshop 6.2 Room 028 Salle des thèses

‘Refiliating memory in the Caribbean’.

Chair Sam Coombes.

Kathie Birat, Université de Lorraine

‘Making sense of memory in the writings of the Caribbean Diaspora.’ (Andrea Levy and Caryl Phillips).

Myriam Moise, Université des Antilles Guyane

‘The wombs of memory in the narratives of E. Danticat and N. Hopkinson : reproducing subaltern histories, reasserting folk memory.’

15h-15h20: Coffee break

15 h20-16h15: Robert Young, Julius Silver Professor of English and Comparative Literature at New York University.

followed by

16h15-17h15: Concluding round table ; Héliane Ventura and Janet Wilson will be joined by the guest speakers. Chair : Françoise Král

Conference organising committee: Francoise Kral (Caen), Corinne Bigot (Paris X), Sam Coombes (University of Edinburgh)

4.5 ÉCRIRE ENTRE LES LANGUES /ÉCRIRE EN LANGUES

Journée d’étude organisée par

Olga ANOKHINA (ITEM, CNRS) et François RASTIER (ERTIM)

Sous le haut patronage de l’Observatoire européen du plurilinguisme

vendredi 8 novembre 2013

Salons de l’INALCO
Escalier C, deuxième étage

2 rue de Lille, 75007 Paris
Métros : Saint-Germain des Prés, Musée d’Orsay

La notion de littérature nationale doit beaucoup aux nationalismes du XIXe et sa validité reste d’autant plus douteuse que les langues de culture sont transnationales. Elles attirent des écrivains de toute nationalité, qui à bon droit rivalisent pour s’introduire dans leur corpus. Par leur connaissance des langues comme par leurs traductions et autotraductions, les écrivains accèdent en outre à l’espace de la littérature mondiale qu’ils contribuent à étendre. Ces évidences soulignent, par parenthèse, l’étroitesse de la notion de littérature française comme les ambiguïtés de l’étiquettefrancophone.

Le plurilinguisme des écrivains apparaît dans les dossiers génétiques des œuvres, où les manuscrits multilingues ne sont pas rares. En outre, il nourrit un imaginaire des langues, qui deviennent ainsi un thème littéraire.

Consacrée à la création plus qu’à la critique, cette journée d’étude se concluera par une table-ronde réunissant des écrivains : elle entend mettre en débat l’esthétique, la linguistique et la science des œuvres pour illustrer le plurilinguisme secret de toute littérature.

PROGRAMME

9.15-9.30Accueil
9.30-11.00 1ère session

9.30-9.55Ursula MOSER (Université d’Innsbruck, Autriche)

Écrire « entre deux territoires, entre deux langues, […] entre deux mémoires » (A. Djebar)

9.55-10.20Olga ANOKHINA (CNRS-ITEM)

Étudier les écrivains plurilingues grâce aux manuscrits

10.20-10.45Dirk WEISSMAN (UniversitéParis-Est Créteil)

Ecritures translingues dans les relations littéraires franco-allemandes actuelles

10.45-11.00 – discussion

11.00 – 11.30 pause

11.30-13.00 2ème session

11.30-11.55Anne BAYARD-SAKAI (Centre d’Études Japonaises, INALCO)

La littérature japonaise et l’oblitération des frontières

11.55-12.20Enrique BALLÓN-AGUIRRE (Arizona State University)

Le plurilinguisme dans la poésie de César Vallejo

12.20-12.45Christian ESTRADE (Université deToulouse-le-Mirail)

Écriture et autotraduction chez Copi

12.45-13.00 – discussion

13.00-14.30 repas

14.30-15.35 3ème session

14.30-14.55Samia KASSAB (Université des sciences humaines,Tunis)

Écrivains des Caraïbes : de Glissant à Chamoiseau

14.55-15.20Marie VRINAT-NIKOLOV / Patrick MAURUS (CERLOM/INALCO)

Traduire le colinguisme à l’œuvre dans la littérature

15.20-15.35– discussion

15.35-16.05 – pause

16.05-17.20 4ème session

Table ronde avec la participation de

Georges-ArthurGOLDSCHMIDT, Jean-Claude PINSON,

Birgit MERTZ-BAUMGARTNER, Vassilis ALEXAKIS (sous réserve)

Modérateur :François RASTIER

17.20 – clôture de la journée et cocktail

Contact :

François Rastier :frastier@gmail.com

Olga Anokhina :olga.anokhina@freesbee.fr

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