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SFPS Mailing July 2021

29th July 2021
  1. Call for Paper/Contribution.

1.1.       Appel à communications « Les géographies imaginaires de l’esclavage dans la littérature, les arts et les musées », colloque International, Université du Mans / Université d’Abomey-Calavim 26 – 27 – 28 avril 2022

1.2.       Appel à contributions : Ouvrage collectif sur Ousmane Moussa Diagana.

1.3.       Journées Internationales de Jeunes Chercheur·e·s sur les Hybridations Culturelles et les Identités Migrantes, organisées par l’Équipe de recherche HYBRIDA de l’Université de Valence (Espagne), 21 et 22 octobre 2021, hybride.

1.4.       Appel à contributions pour le numéro 3 de la revue HYBRIDA (décembre 2021).

1.5.       Call for contribution from researchers and artists, Festival of Hope. 

1.6.       Call for Papers, Centre for the Study of Contemporary Women’s Writing (CCWW), INSTITUTE OF MODERN LANGUAGES RESEARCH, School of Advanced Study, University of London, “Women’s Historical Fiction across the Globe”, 29 October 2021, online. 

1.7.       Call for contribution, Seeing in Tongues: Modern Languages and Visual Culture.

1.8.       “Women, Memory & Transmission. Postcolonial Perspectives from the Arts and Literature (Oxford)” à la Maison Française d’Oxford, 18 octobre 2021.

1.9.       The Third International Conference of the Association for Literary Urban Studies (ALUS), “Cities Under Stress: Urban Discourses of Crisis, Resilience, Resistance, and Renewal”, University of California, Santa Barbara on 17–19 February 2022.

1.10.          Appel à communication, XVIe Colloque International d’Études Francophones, CIEFT 2022, “Politiquement (in)correct en francophonie. (In)Conformismes de la pensée et de la parole”, Université de l’Ouest de Timişoara (Roumanie), les 17-18 mars 2022, en présence, à distance ou hybride synchrone.

  1. Job and scholarship Opportunities.

2.1.       Language Tutors in French, University of Manchester. 

2.2.       British Academy’s Postdoctoral Fellowship Scheme, University of Aberdeen.

2.3.       British Academy Postdoctoral Fellowship at the University of Exeter. 25

  1. Announcements.

3.1.       Seminar “Autofiction: A Female Francophone Aesthetic of Exile”, University of London, 8 September 2021. 

3.2.       R. Gapper book prize.

3.3.       INSTITUTE OF MODERN LANGUAGES RESEARCH, School of Advanced Study, University of London, “Narratives of Selfhood and Ambivalence”, 30 September – 2 October 2021.

  1. New Titles. 33

4.1.       Inaugural Issue, Les Cahiers du Tout-Monde, Revue du Centre international d’études Édouard Glissant (CIEEG) de l’Institut du Tout-Monde. 

4.2.       Samuel Kennedy Yeboah, The Ideology of Racism, Hansib Publications, 2021.

4.3.       “Postcolonial realms of memory in the francophone world” (Jonathan Lewis and Antonia Wimbush), Francosphères.

4.4.       René Maran, Bêtes de la brousse, Sciteps, 2021.

4.5.       Abdellah Taïa’s Queer Migrations: Non-Places, Affect, Temporalities.  Eds. Denis M. Provencher and Siham Bouamer.  Lexington Books, 2021.

4.6.       Forum for Modern Languages Studies: Colonialism’s Archive, Virtual Issue.

4.7.       Numéro spécial de la revue “Journal of World Literature”, Contemporary Congolese Literature as World Literature, ed. Julien Jeusette et Silvia Riva (Special Issue, Volume 6 (2021): Issue 2, June 2021).

1.  Call for Paper/Contribution

1.1.             Appel à communications « Les géographies imaginaires de l’esclavage dans la littérature, les arts et les musées », colloque International, Université du Mans / Université d’Abomey-Calavim 26 – 27 – 28 avril 2022

Lieu du colloque

Université d’Abomey-Calavi & Ouidah

Bénin

« Les géographies imaginaires de l’esclavage dans la littérature, les arts et les musées »

            La traite négrière définit une « route » dans la géographie du monde dont les traces sont matérielles et immatérielles, représentées à la fois par des lieux de mémoire (forts, plantations, navires, architectures) et des histoires singulières (réelles ou imaginaires). On entendra ici par géographie imaginaire l’approche de ce concept selon Édouard Glissant qui écrit : « Dans les pays composites, et par exemple pour les cultures créoles des Amériques, l’avancée se fait par traces. L’essentiel de la population est arrivée nue, c’est-à-dire après avoir été dépouillée des artefacts de sa culture originelle, de ses langues, de ses dieux, ses objets usuels, ses coutumes, ses outils, et il lui a fallu recomposer par traces, ‘dans les savanes désolées de la mémoire’ ». L’analyse des géographies imaginaires explore la dialectique entre mémoire et espace telle qu’elle s’inscrit dans les réalités quotidiennes des esclavisés et dans les transmissions qui alimentent les imaginaires. Les histoires de l’esclavage se singularisent en fonction des géographies (politiques, sociales, culturelles, humaines) locales et les œuvres qui en découlent traduisent la différenciation de l’espace à toutes les échelles. Ainsi, la migration de retour vers l’Afrique pourra être explorée à travers l’ancrage géographique réel et imaginaire que l’espace romanesque laisse entrevoir.

            Cette rencontre scientifique se concentrera sur les analyses des représentations et des imaginaires géographiques de l’esclavage dans les arts contemporains, en l’occurrence la littérature, les films, la photographie, les arts plastiques et les discours historiographiques. Les approches critiques pourront porter sur l’étude du passage des réalités géographiques (l’espace Atlantique, sillonné de bateaux négriers qui voyagent entre les côtes d’Afrique, du continent européen et des terres américaines) aux géographies imaginaires de ces lieux tragiques. Les représentations des routes du « commerce triangulaire » et la formation d’une identité diasporique entre Afrique, Europe et Amériques (Paul Gilroy) pourront être étudiées à travers des œuvres qui participent à la construction de cette géographie imaginaire de l’esclavage. Dans le contexte d’une littérature croissante qui documente la façon dont les événements passés influencent le présent mémoriel, quelle représentation géographique a été donnée de l’héritage de l’esclavage sur l’évolution socio-économique des descendants ? Les répartitions géographiques ont créé des différences de statut social et de perception des esclavisés et ceci pourra être analysé à travers les réminiscences géographiques imaginaires.

  Les puissances colonisatrices (Portugal, Royaume-Uni, Espagne ou France) se sont développées grâce à la traite et de nombreux projets artistiques et littéraires interrogent cette mémoire longtemps occultée. Dans les pays destinataires de la traite, ce sont également des monuments qui ont été construits grâce aux profits tirés du commerce de l’esclavage. Les pratiques de sociétés structurées sur la mise en esclavage d’hommes et de femmes transplantés du continent africain aux Amériques y ont été les facteurs de la construction de nouveaux espaces de vie qui restent dans les mémoires transmises. Ces lieux qui nourrissent les géographies imaginaires méritent d’être revisités pour considérer la manière dont ils incarnent le destin de l’esclavisé. Il s’agira de mettre en relief une géographie de la servitude (zones de kidnapping, d’emprisonnement et de déplacement), qui là aussi est transmise comme géographie humaine tragique.

  Les musées, en tant que lieux de mémoire proposant un filtre de perception de la culture de l’Autre, esquissent une géographie mémorielle que l’on pourra également interroger. Du Mémorial de l’Abolition de l’esclavage à Nantes, de la Maison des esclaves de l’Ile de Gorée, au Musée de l’esclavage de Ouidah et au Fort de Cape Coast au Ghana, les musées expriment différentes approches de cette géographie imaginaire. Ce colloque international sur les géographies imaginaires de l’esclavage soulignera justement la difficulté à parler de l’histoire locale de la traite dans les territoires européens, dans les Amériques, mais aussi en Afrique. Tous ces lieux seront à explorer dans le cadre de ce colloque international qui vise à construire une réflexion sur les géographies imaginaires de l’esclavage à travers les textes et les images de l’époque coloniale à l’époque postcoloniale et ce, à partir d’un site à forte charge symbolique, celui de la route des esclaves de Ouidah, au Bénin.

Comité d’organisation

Pr Okri Pascal Tossou

Pr Benaouda Lebdai

Pr Delphine Letort

Dr Charles Ligan

Pr Eliane Elmaleh

Dr Alfred Djossou

Dr Atavikpo Vincent

Conditions de participation :

Le colloque est ouvert à toutes les personnes venant des sphères scientifique, culturelle, politique, artistique, spirituelle ainsi que de tous ceux qui aspirent à une meilleure connaissance de la traite des esclaves et des acquis ou inconvénients hérités par les pays impliqués. Les activités du colloque sont prises en charge par le Comité d’organisation. Toutefois, après la lettre d’acceptation délivrée par le Comité scientifique, les participants doivent verser une contribution minimum au plus tard le 15 décembre 2021. Le montant forfaitaire de participation se présente comme suit :

–       40 euros pour les internationaux,

–       50.000 F CFA pour les autres participants nationaux

–       10.000 F CFA (15 euros) pour les doctorants et étudiants

 

Les frais de participation doivent être envoyés sur le Compte N°003833780001 (BOA) de la Faculté des Lettres, Langues, Arts et Communication (FLLAC). Après versement des frais, chaque participant devra envoyer la copie scannée du récépissé par courriel à colloque_lemans_fllac@uac.bj

Le montant couvre le kit du participant, les pauses-café, les déjeuners. Au dernier jour du colloque, un dîner de gala sera offert. Le billet d’avion et les frais d’hébergement sont à la charge des participants. Pour tous renseignements complémentaires, contactez Charles Ligan au : 00229 97870144 et/ou Alfred Djossou au : 0022966046505.

Principales activités

Durant les trois jours du colloque, il est prévu une diversité de manifestations qui permettent aux participants d’échanger mais aussi de s’offrir des moments de détentes. Ainsi, la tenue du colloque englobe entre autres :

–       Communications / débats.

–       Prestations artistiques.

–       Visites des sites de Ouidah et Porto-Novo.

–       Musique, danses & chorégraphies du Bénin.

–       Exposition d’œuvres d’arts et d’ouvrages à Ouidah.

–       Foire de produits made in Benin à Ouidah.

La cérémonie officielle d’ouverture du colloque est prévue le 26 avril 2022 à 9h à l’Université d’Abomey-Calavi.

Ensuite le colloque se déroulera à ‘l’Hôtel des diasporas’ dans la ville historique de Ouidah.

 Les propositions de communications (en français) sont à envoyer au plus tard le 30 octobre 2021 aux adresses suivantes :

Benaouda LEBDAI : benaouda.lebdai@gmail.com

Okri Pascal TOSSOU :  topas4fr@yahoo.fr

ET en Cc :

Charles Ligan : charles.ligan@flash.uac.bj

Eliane Elmaleh : eliane.elmaleh@univ-lemans.fr

1.2. Call for con : Ouvrage collectif sur Ousmane Moussa Diagana

Né en 1951 et décédé en 2001, Ousmane Moussa Diagana a marqué de son empreinte aussi bien la littérature mauritanienne que la linguistique africaine. Son œuvre littéraire est intemporelle et sa relecture à l’aune du temps révèle sa pertinence par son actualité incessamment renouvelée. Les questionnements soulevés dans sa poésie traduisent les préoccupations de la Mauritanie d’aujourd’hui et sa vision du monde, du Tout-monde. Son lyrisme n’a d’égal que son souci d’une Mauritanie réconciliée et sa poétique au service de la diversité et de l’interculturel. Dans Notules de rêves pour une symphonie amoureuse (1994) et Cherguiya, Odes lyriques à une femme du Sahel (1999), le poète chante l’amour et magnifie la femme pour mieux relier les différentes composantes nationales et réparer ainsi une fraternité abîmée.

Son œuvre scientifique : Chants traditionnels du pays soninké. Mauritanie, Mali, Sénégal (1990), La Langue soninké, morphosyntaxe et sens (1995) et Dictionnaire soninké-français (2011 à titre posthume), témoigne de sa volonté de préserver et de développer non seulement sa langue maternelle et son patrimoine culturel mais toutes les langues africaines en général et mauritaniennes en particulier. En effet cette œuvre trouve son prolongement naturel dans les innombrables travaux de fin d’études d’étudiants qu’il a dirigés et qui auront largement et de manière décisive contribué à la description du fonctionnement intrinsèque des langues nationales mais aussi au recueil et à la sauvegarde du patrimoine oral qu’elles charrient, avec ce que cela suppose comme légendes et mythes fondateurs. Mais l’empreinte d’Ousmane Moussa Diagana est aussi et surtout demeurée indélébile grâce aux vocations qu’il a su susciter chez nombre de ses disciples qui ont fait de l’épanouissement et de la promotion des langues mauritaniennes un véritable sacerdoce.

Diplômé en Lettres modernes, Docteur d’Etat en Sciences du langage, O.M. Diagana était avant tout un enseignant dans l’âme. Il a notamment assuré des cours de littératures orales et de linguistique au Département de Langue et de Littérature françaises de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines qu’il dirigea, avant de créer le Département des Langues nationales et de Linguistique, il était au carrefour des disciplines et cultivait toujours l’excellence.

 Vingt ans après sa disparition, il est donc venu le temps de revenir sur le riche parcours de l’homme et de revisiter son œuvre à la fois dense et éclectique à travers un ouvrage collectif que le Groupe de Recherches en Littératures Africaines (GRELAF) et le Groupe de recherches en Linguistique et Didactique (GLIDA) de l’Université de Nouakchott Al Aasriya envisagent de lui consacrer dans le but d’interroger les différentes facettes de son œuvre littéraire et scientifique, et d’en explorer de nouvelles pistes de recherches.

L’œuvre littéraire et les travaux de recherche de Diagana étant variés, nous encourageons des contributions se situant dans les différents domaines des lettres et sciences humaines (Littérature, Linguistique, Oraliture, Didactique, Histoire, Sociologie, Arts et Culture, Anthropologie…)

Les propositions de contribution pourront s’inscrire dans l’un des axes suivants (non exhaustifs) :

–          Etude littéraire de l’œuvre poétique d’O M Diagana ;

–          Analyse linguistique de l’œuvre littéraire d’O M Diagana ;

–          Ousmane Moussa Diagana et la promotion des langues nationales et des littératures orales ;

–          Héritage et influences d’O M Diagana ;

–          Toute autre approche pouvant éclairer l’œuvre d’O M Diagana.

Modalités de soumission :

Les personnes intéressées sont invitées à faire parvenir leurs propositions de contribution accompagnées d’un résumé, (200-300 mots) et d’une courte biobibliographie à grelafuna@gmail.com

La sélection et la publication des contributions seront effectuées après évaluation par le comité scientifique et de lecture.

Calendrier :

  • Réception des contributions : 08 janvier 2022 ;
  • Retour des contributions aux auteurs pour corrections éventuelles : 08 février 2022 ;
  • Réception des articles corrigés : 08 mars 2022 ;
  • Date prévisionnelle de publication de l’ouvrage : avril 2022.

Normes rédactionnelles :

  • Les contributions doivent avoir une longueur comprise entre 08 et 13 pages et être rédigées sous format Word ;
  • Police de caractères : Times New Roman – corps 12 – interlignage simple – alinéa 0,5 cm ;
  • Corps du manuscrit : les différentes parties doivent apparaître dans un ordre logique avec numérotation numérique en chiffres arabes (1. 1.1 ; 1.2 ; 2; 2.1 ; 2.2 ; etc.). L’introduction et la conclusion ne sont pas numérotées ;
  • Toutes les notes sont ramenées en bas de page et numérotées en continu sur l’ensemble du manuscrit;
  • Les citations et expressions sont à mettre entre guillemets. Les citations de textes étrangers doivent être traduites en français ;
  • Les références bibliographiques seront présentées en fin de texte, par ordre alphabétique des noms d’auteur;
  • Toute référence bibliographique citée dans la bibliographie devra avoir été citée dans la contribution, et vice-versa.

1.3.             Journées Internationales de Jeunes Chercheur·e·s sur les Hybridations Culturelles et les Identités Migrantes, organisées par l’Équipe de recherche HYBRIDA de l’Université de Valence (Espagne), 21 et 22 octobre 2021, hybride.

Appel a communication ici Journées Internationales de Jeunes Chercheur·e·s sur les Hybridations Culturelles et les Identités Migrantes # 1 – HYBRIDA (uv.es)
Date butoir pour l’envoi des propositions : 1er octobre 2021

1.4.   Appel à contributions pour le numéro 3 de la revue HYBRIDA (décembre 2021)

le Dossier central porte le titre de “Sida/s – 40 ans”. Il est coordonné par Ahmed HADERBACHE et Didier LESTRADE.

https://www.fabula.org/actualites/revue-hybrida-3-2021dossier-sida-s-40-ans_102912.php


Nous vous rappelons que nous avons créé la section MOSAÏQUE afin de publier des articles ne répondant pas à la thématique centrale du Dossier mais qui respectent les perspectives proposées par la revue concernant les hybridations culturelles et les identités migrantes.
Une section de création littéraire appelée TRACES accueille des textes inédits d’auteur·e·s de tout horizon.
Nous inaugurons également une section appelée BIJOUX pour les comptes rendus littéraires.

1.5. Call for contribution from researchers and artists, Festival of Hope.

After a year in and out of lockdown, we all feel a bit discouraged and it seems difficult to see the end of the tunnel. At the same time, these unprecedented times have pushed us to reflect even more on our society and world more globally. We’ve been invited to open our eyes to the negative impact our activities have been having on our environment and it seems even more urgent to change our way of life. The extremities of the situation have led to both generous springs of solidarity and tendencies to close ourselves up. It has revealed the lack of social fabric in the Western world and a desire for a stronger sense of community. The economic impacts of the crisis also question our whole system based on consumption.

In this situation, which brings many discouragements but also many questions, it seems a great moment to look at the world with hope. Hope for our ability to adapt to the worst situations, a hope that hard times bring sometimes beautiful unselfish instincts in people, hope in the necessity to question and reflect, hope in the possibility to change and to bring change, hope in what makes us human, hope in the beauty of the world, hope in other approaches to each other and to the other, hope in different ways to be in the world, to connect to the divine.

Moreover, we have never relied so much on the products of the entertainment industry, and people are probably more willing to recognise the importance of arts in all its forms. Art seems indeed unique in its ability to reflect on the present, humanity, history but also in its power to reinvent the world. Because it takes place in that pure place of creativity within ourselves it is an incredible infuser of hope. It brings together communities, it remembers personal and collective traumas, it offers other ways to look at the world and thus proposes alternative ways of life. An art festival around the theme of hope thus appears particularly relevant.

Consequently, we wanted to reflect and invite others to reflect and publicise the incredible work done by so many to bring about little pieces of hope. Our aim is to offer a platform for artists but also researchers and scientists to showcase their work. It will first take the form of an online exhibition and will then lead to a bigger physical festival in Spring 2022 which would bring together an exhibition, shows, workshops, plays etc.

We will consider any submission of artistic endeavour. We will welcome offerings from painters, illustrators, sculptors, conceptual artists, street artists, photographers, story-tellers, poets, writers, craftspeople, dancers, singers, instrumentalists, bands, songwriters, composers and more. Students, amateur and professional artists are all invited to participate.

We would also be delighted to receive submissions from researchers willing to present their research in a creative way.

All works entered for display should deal with the theme of hope, but this can be interpreted in any direction. This might include, but is not limited to:

Civic hope for Coventry;

hope for a homeland;

hope for the world;

environmental hope;

personal hope and

 the spirituality of hope…

All submissions along with a short biography (max. 200 words) and any description/text (max. 500 words) you would want to go along with your work, should be submitted through the website https://www.festivalofhopecoventry.org/contribute before the 30th of August 2021. For writers, we encourage you to choose an image which could be used to promote your work on the website and on social media, if you don’t provide any, we will, with your permission, choose one for you.

The submissions will go through a curation process and upon selection will be released onto our website fortnightly.

The Festival is a voluntary event, and we envisage no payment being made to any administrator or artist, you can use the festival as a platform to promote your artwork and link to your own website.

1.6.  Call for Papers, Centre for the Study of Contemporary Women’s Writing (CCWW), INSTITUTE OF MODERN LANGUAGES RESEARCH, School of Advanced Study, University of London, “Women’s Historical Fiction across the Globe”, 29 October 2021, online.

https://modernlanguages.sas.ac.uk/events/event/24535

 

Call for Papers deadline: 3 September 2021
Online Symposium will take place on: 29 October 2021

Organisers: Karunika Kardak (IMLR) and Catherine Barbour (University of Surrey)

This online symposium invites abstracts for 20-minute papers on historical fiction by women writers across languages, time periods and cultural settings. The aim is to facilitate a dialogue between scholars working on and/or from the Global South and North on intersectional feminist approaches to women’s histories and literary texts.

We invite papers which explore how the genre unearths women’s historical experiences, retrieves them from the archive and fills gaps in historical narratives through fiction in order to counter and challenge patriarchal and cisnormative official histories. In other words, the symposium explores how fiction can become a way for women writers, especially ethnic, LGBTQIA+ and other minorities, to reclaim their ancestral pasts and write forgotten subjectivities back into history. It also seeks to discuss how works of historical fiction draw upon and go hand in hand with contemporary feminist activist movements.

We particularly welcome Black, Asian and Latinx feminist approaches as well as scholarship on trans voices, transcultural texts, migrant narratives and women writing in minority languages.

The symposium will close with a roundtable discussion which will reflect upon trends in historical fiction and gender-based approaches to the genre. We aim for this to be a significant step towards developing more inclusive, transnational, comparative and comprehensive theoretical notions on women’s historical fiction.

Following the symposium, we hope to invite contributions on novel approaches to women’s historical fiction to be published in an edited volume.

For 20-minute presentations, please send a 250-word abstract with a short author biography by 3 September 2021 to Karunika Kardak: karunika.kardak@sas.ac.uk The symposium is envisaged primarily as an exchange of ideas and we welcome papers discussing works in progress.

Centre for the Study of Contemporary Women’s Writing (CCWW)

INSTITUTE OF MODERN LANGUAGES RESEARCH

School of Advanced Study • University of London

Room 239 | Senate House | Malet Street | London WC1E 7HU | UK

http://modernlanguages.sas.ac.uk | modernlanguages@sas.ac.uk

1.7.   Call for contribution, Seeing in Tongues: Modern Languages and Visual Culture

Editors: Jonathan J. Long (Durham, UK) and Edward Welch (Aberdeen, UK)

Publisher: Legenda, Studies in Visual Culture

Anticipated publication date: 2023

As Visual Culture has emerged as a field of study over the past three decades or so, it has drawn extensively on theoretical paradigms located in French, German and other national contexts. At the same time, research in Modern Languages has played a decisive role in shaping the field, in particular by decentring and interrogating the critical assumptions of a domain that tends towards Anglophone, Anglo-centric and Euro-centric reflexes.

Marking the launch of Legenda’s new Visual Culture series (http://www.mhra.org.uk/series/VC), this edited collection aims to take stock of the contribution made by Modern Languages research to defining and understanding visual culture. The volume locates the distinctiveness of Modern Languages research not simply in its understanding of how images work within different national contexts, or in its familiarity with key theoretical paradigms, but also in its sensitivity to the broader dynamics of intercultural contact and transnational movement. Just as work in Modern Languages is increasingly attentive to translingualism as a means of grasping how languages inhabit, inflect, colonize and cross-pollinate each other, so too the volume sets out to explore what it might mean to think in terms of ‘transvisual culture’. It seeks to map the contours of visual economies within and between cultures, and how work in Modern Languages enables us to grasp the nature of image flows and circulation.

Amongst the topics that could be explored are the following:

Cultures, histories and theories of seeing within national contexts

How cultures and theories of seeing travel, and what happens when they do so

Figural ways of talking about images

How images flow within and across borders

How borders are manifested and transgressed by images

Material cultures of image circulation through photographs and print media, and how those cultures have been mimicked and transformed in the digital age

The space and time of image circulation

Why linguistic and cultural competence matters when working with images

Contributors are encouraged to adopt a meta-critical perspective on their thinking about visual culture in Modern Languages, how their methodologies have developed, and how they have been shaped by working between Modern Languages and other disciplines. A preparatory workshop in April 2022 will refine these questions, identify others, explore how individual contributions address them, and establish cross-cutting themes and connections between chapters. We are looking for contributions that reflect the global span of Modern Languages research, including Latin America, the Middle East, East Asia and Africa as well as Europe, and open up a historical perspective by exploring the circulation and material culture of images in the pre-photographic age.

To be considered for inclusion in the volume, please submit an abstract of c. 250-300 words and an outline CV including relevant publications to j.j.long@dur.ac.uk and edward.welch@abdn.ac.uk. The deadline for submission is 30 September 2021 and we aim to communicate outcomes by 30 November 2021. The preparatory workshop is scheduled for 7-8 April 2022, with submission of chapters by the end of July 2022. Chapter proposals will be selected by a committee comprised of the volume editors and members of the Visual Culture editorial board. We anticipate around 18-20 contributions of c. 7-8,000 words each, with an introduction co-authored by the volume editors.

1.8.  “Women, Memory & Transmission. Postcolonial Perspectives from the Arts and Literature (Oxford)” à la Maison Française d’Oxford, 18 octobre 2021

Le 18 octobre 2021 se tiendra un colloque international intitulé “Women, Memory & Transmission. Postcolonial Perspectives from the Arts and Literature (Oxford)” à la Maison Française d’Oxford avec le soutien du centre de recherches TORCH.

Veuillez trouver l’appel à contributions sur Fabula. Nous aurons l’honneur d’accueillir Prof. Deborah Willis (New York University) comme conférencière invitée.

1.9.  The Third International Conference of the Association for Literary Urban Studies (ALUS), “Cities Under Stress: Urban Discourses of Crisis, Resilience, Resistance, and Renewal”, University of California, Santa Barbara on 17–19 February 2022.

 

Proposals due: 1 September 2021

We invite proposals for contributions at the third international conference of ALUS, scheduled to take place at the University of California, Santa Barbara on 17–19 February 2022. Following earlier successful meetings in Tampere, Finland (2017) and Limerick, Ireland (2019), and sessions at the Modern Language Association Convention (MLA) in both 2020 and 2021, ALUS now organizes its first event in North America.

This conference explores the theme of crisis and response as conveyed in cultural representations of urbanity. We welcome contributions that take up any aspect of or perspective on urban crisis and response, working on any period or genre of literature, from any linguistic tradition. Proposals are invited for individual 20-minute papers or multi-paper panels that in some way work with the theme of urban crisis and response.

The 2020-21 pandemic has led to widespread speculation about how cities will change over the decades to come in response to the vulnerabilities of urban populations exposed by the virus. Other recent events have foregrounded the various roles that cities play as sites of political contestation and social conflict. These include the recent unrest over structural inequalities and police violence (in the USA and around the world), debates over public symbols of cultural memory (as in Bristol, UK), protests against gentrification (as in Berlin), and anti-inequality or pro-democracy demonstrations (as in Santiago, Hong Kong and Cairo). Meanwhile, the nexus of existential threats associated with climate change has lent even greater urgency to the question of how cities must evolve, and whether they can do so in ways that promote more sustainable, equitable, and socially cohesive modes of existence.

Of course, these are hardly the first events to have made cities face the possibility of profound and irrevocable change, nor is this the first time that fears of contagion, violence, and other threats have been concentrated on cities. Only in dialogue with the many profound changes of earlier historical moments can the present moment become explicable, a process in which the humanities have a crucial role to play. Papers concerning literary representations of numerous other crisis moments in the cities of the past are therefore warmly welcomed for this conference.

The triumphalist tone that much urban theory took on at the end of the twentieth century and the beginning of the twenty-first is being heard less. Now, it seems, is a time for recognition of profound uncertainty, a time for learning from the numerous crises cities have overcome in the past. In particular, it is a time for awareness of the particular challenges facing peripheral cities, shrinking cities, and cities in the Global South. And yet, as the United Nations’ New Urban Agenda of 2017 asserts, “If well-planned and well-managed, urbanization can be a powerful tool for sustainable development for both developing and developed countries.” Recognizing the central role that cities have played in human history in the past, for better and for worse, and stressing the apparent inevitability of increasing urban growth in the foreseeable future, the UN document expresses optimism about the future of cities, provided that they can be made “inclusive, safe, resilient, and sustainable.”

Many of the watchwords of the UN document–resilience, efficiency, development, consumption, sustainability–are themselves subject to critique, raising larger questions about how the proper goals of urban development should be defined and what principles should guide city planners and city dwellers in an era of proliferating challenges. What clues does the past offer? Do the kinds of representations found in literary texts offer any special insights? How do specific literary forms, including those found in poetry, drama and both prose fiction and nonfictional prose genres mediate and contest the notion of resilience? These are the questions we hope to address in 2022.

Areas you might choose to focus on include:

–          theoretical and fictional discourses of urban resilience;

–          urban resilience and genre: speculative fiction; creative nonfiction including life writing, travel writing, essay and reportage;

–          environmental change including the current climate emergency and its possible impacts in cultural representations;

–          identities including queer, feminist, and intersectional literary urban studies;

–          cities of the Global South, postcolonial literary urban studies and related decolonizing perspectives;

–          networks of larger and smaller cities, including global measures of alpha, beta and gamma-level urban regions and representations of secondary and tertiary cities;

–          literary representations of city subsections and divisions including but not confined to

o   downtowns in crisis,

o   exurbs,

o   gentrifying zones,

o   informal settlements,

o   industrial zones, or

o   ports and other frontier points;

–          sites associated with mass transportation and other urban mobilities;

–          representations of plague, epidemic and disease in any historical or national context;

–          urban planning texts and other not explicitly literary texts read using literary studies methodologies;

–          resilience as comprehended in urban poetry or drama;

–          accounts of displacement and acts of resistance to it including squatting and rent protests.

Please send an abstract of your proposed talk (max. 250 words) and a 50-word bio indicating your affiliation and any other key points to alus-sb-2022@frit.ucsb.edu by 1 September 2021. You may also direct any questions about the conference to this address or individually to the conference organizers.

Conference Organizers

Jason Finch, Åbo Akademi University (jason.finch@abo.fi)

Liam Lanigan, Governor’s State University (wlanigan@govst.edu)

Eric Prieto, University of California Santa Barbara (eprieto@ucsb.edu).

ALUS:  https://blogs.helsinki.fi/hlc-n/

1.10. Appel à communication, XVIe Colloque International d’Études Francophones, CIEFT 2022, “Politiquement (in)correct en francophonie. (In)Conformismes de la pensée et de la parole”, Université de l’Ouest de Timişoara (Roumanie), les 17-18 mars 2022, en présence, à distance ou hybride synchrone

 

 

  1. Présentation

« Ne voyez-vous pas que le véritable but du novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? À la fin, nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée, car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer » (George Orwell, 1984, traduction de Amélie Audiberti, 1950)

La XVIe édition du Colloque International d’Études Francophones, CIEFT 2022, « Politiquement (in)correct en francophonie », Timişoara (Roumanie), se propose de mixer les genres et les palettes d’expression afin d’exploiter les acceptions du politiquement (in)correct. (Richer et Weir 1955, Chaput, Beaudry 2006, Munier 2021). Les participant.e.s sont convié.e.s à s’interroger sur la bien-pensance, le bon sens du langage et sur l’humainement obligatoire. Les propositions de communications pourront observer aussi bien le rôle du politiquement (in)correct dans la culture, dans les littératures française et francophones et dans les domaines du savoir, que l’impact que les décisions institutionnelles européennes et internationales produisent sur le développement personnel, sur les aspects sociétaux et mentalitaires contemporains. L’intérêt du colloque consiste à croiser plusieurs axes et à en examiner les liens : les (in)conformismes de la pensée et de la parole, les réglementations concernant le politiquement correct, l’appropriation culturelle et l’annulation culturelle.

Après une massive production de documents normatifs (déclarations, chartes, conventions complétées et renouvelées), préoccupés à défendre les droits de l’homme, des citoyen.ne.s, des minorités, les droits sociaux, les droits des affaires, etc., les organismes internationaux tâchent de faire connaître les normes, de les disséminer au-delà d’un système destiné à l’usage des professionnel.le.s (Cornu 1990) et, donc, de les mettre en œuvre tout.e.s et à la portée de tout.e.s. Car à quoi bon de faire rédiger des droits si l’on ne parvient pas à permettre aux concerné.e.s d’en bénéficier ? Le principe d’égalité linguistique suffit-il pour que le politiquement correct soit également répandu dans le monde francophone (cf. Mattila 2012) ?

Les coutumes politiquement correctes sont-elles cohéremment utilisées dans le monde entier ? (Le Bon 1914, Barbéris 2018). Et dans le monde francophone ? En dehors des frontières francophones, ces recommandations langagières devraient-elles se généraliser afin de comprendre également les discriminations dites positives ? Les écarts sociétaux et mentalitaires entre les pays francophones entravent le respect du politiquement correct, laissent s’insinuer le politiquement incorrect (Mangeot 1997). Source de dérapage linguistique, comportemental, diplomatique potentiellement discriminatoire, le politiquement correct est souvent considéré « séparatiste ». Les habitudes langagières des Francophones sont-elles d’usage partout dans le monde francophone ? Les réponses à ces questions pourraient s’inscrire dans les axes de recherches qui suivent et qui concernent aussi bien les approches littéraires, linguistiques et didactiques, que les approches traductologiques et communicationnelles :

  • (In)Conformismes de la parole et de la pensée dans le discours francophone littéraire et non-littéraire et dans sa traduction. Genèse (dé)raisonnable des pensées, discours, expressions (Melnik 1999, Alber 2021),
  • Intrusion du politiquement correct dans la vie, la société, la culture, la littérature française et francophones contemporaines (Bock-Côté 2019). Retombées :

o   « démocrature » (Mermet 1987) des réseaux socionumériques et formes d’affirmation, de reconnaissance ou d’(auto)censure dans le domaine littéraire ;

o   contraintes de la bien-pensance vs liberté d’expression ;

o   prescriptions normatives (acteurs, vecteurs, paradigmes, charge symbolique ou idéologique, etc.) vs veille éthique de écrivains

  • Politiquement correct, appartenance identitaire et exclus non cités (féminisme, stigmatisation du féminisme, antiféminisme, par exemple) ;
  • Logique du discours des minorités, logique du discours des majorités, conflits de ces logiques dans les littératures française, francophones et dans leur traduction ;
  • Féminisation du langage ;
  • Analyse discursive des formulations du politiquement in.correct ;
  • Littérature et traduction comme moyens de propager le politiquement (in)correct (Diesbach, [1969] 2019) ;
  • Extension du politiquement correct dans le discours académique francophone (Lebouc, 2008) ;
  • Rapports sociaux, lutte contre le politiquement (in)correct et (in)tolérance des minorités/majorités ;
  • Le politiquement correct entre norme juridique et norme langagière ;
  • Regards francophones sur l’intercompréhension en langues romanes et sur le droit d’expression (Santos 2007) ;
  • Cadrage transdisciplinaire et nouvelles donnes de l’enseignement des littératures francophones et du FLE/FOS à l’université ;

Le droit d’expression, l’expression et la socialisation, dans les circonstances sociales que la pandémie a définitivement modifiées, perdent leur autonomie et leurs fonctions risquent de s’abîmer à cause de la myopie discursive politiquement (in)correcte. De simples désignations et des notions, de simples verbalisations à des fins utilitaires ou scientifiques ?

  1. Sections : Littérature, Linguistique, Traductologie, Didactique de la littérature et du FLE/FOS, Autres perspectives (anthropologiques, juridiques, sociologiques, etc.)
  1. Proposition de communication

Modalités d’envoi

La date limite de réception des résumés est fixée au 15 novembre 2021.

Les résumés doivent être envoyés avant le 15 novembre 2021, à l’adresse suivante : Cieft TSR-RO <cieft2022@gmail.com>

Consignes

Les propositions de communication devront comprendre les éléments suivants :

  • Les coordonnées précises de l’auteur ou des auteurs : nom(s), prénom(s), affiliation ou lieu d’exercice, statut (professeur, chercheur, doctorant, etc.),
  • Le titre de la communication,
  • La référence à une ou deux thématiques ou sessions visée(s),
  • L’objectif de la communication, l’originalité du sujet, la méthode, les résultats obtenus clairement exposés et justifiés (500 mots, références bibliographiques non comprises),
  • Cinq mots clefs,
  • Une bibliographie précise et spécifique (5 références pertinentes au maximum),
  • Une notice biobibliographique de chaque auteur (80-100 mots) indiquant l’affiliation académique ou le lieu d’exercice, les publications représentatives, les centres d’intérêt. Courriel.

L’avis du comité scientifique sera communiqué aux auteurs des propositions à partir du 15 décembre 2021.

Frais d’inscription au colloque : 15 euros (payables en LEI pour les participants de Roumanie)

  1. Présentation orale des communications : en présence, à distance ou hybride synchrone si nécessaire

Les communications sont organisées en ateliers de 2 heures incluant en moyenne 4 présentations. Vingt minutes sont consacrées à la présentation orale des principaux éléments de la communication et 10 à la discussion. Les ateliers sont animés par un président de séance et un rapporteur. Le président veille à l’équité du temps de parole entre les participants. Le rapporteur discute les textes en séance.

  1. Publications

La publication d’une sélection de communications présentées est prévue, après le colloque, dans les actes du colloque, Agapes francophones, et les revues Dialogues francophones et Translationes.

La publication ne sera envisagée que pour les communications dont le résumé et le texte auront été envoyés dans les délais et formats mentionnés sur le site des publications, et qui auront fait l’objet d’une présentation effective par au moins un des auteurs et d’une évaluation anonyme.

  1. Langue du colloque : le français/l’intercompréhension entre langues romanes pour les partenaires UNITA.
  1. Calendrier
  • Le 15 novembre 2021 : remise des résumés (500 mots, références bibliographiques non comprises)
  • Le 15 décembre 2021 : avis du comité scientifique quant à l’acceptation de la proposition
  • Les 17 et 18 mars 2022 : dates du colloque

Pour toute question sur le colloque, merci de contacter : andreea.gheorghiu@e-uvt.ro

Comité scientifique

José DOMINGUES DE ALMEIDA, Maître de Conférences, Université de Porto, Portugal

Eugenia ARJOCA-IEREMIA, Professeur des Universités, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Georgiana BADEA, Professeur des Universités HDR, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Raluca BERCEA, Professeur des Universités HDR, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Mohamed DAOUD, Professeur des Universités HDR, Université d’Oran, Algérie

Klaus-Dieter ERTLER, Professeur des Universités, Université de Graz, Autriche

Mzago DOKHTOURICHVILI, Professeur des Universités HDR, Université d’État Ilia, Tbilissi, Géorgie

Katarzyna GADOMSKA, Professeur des Universités HDR, Université de Silésie, Pologne

Elena GHIŢĂ, Maître de Conférences, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Margareta GYURCSIK, Professeur des Universités, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Mariana IONESCU, Professeur agrégé, Huron University College at Western, Canada

Carlo LAVOIE, Professeur agrégé, Université de l’Île-du-Prince-Edouard, Canada

Ramona MALITA, Maître de Conférences HDR, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Freddie PLASSARD, Maître de Conférences HDR, Université Paris3 Sorbonne-Nouvelle, France

Vasile POPOVICI, Professeur des Universités HDR, Université de l’Ouest de Timişoara

Eugenia TANASE, Maître-assistante, Université de l’Ouest de Timişoara

Maria ȚENCHEA, Professeur des Universités, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Comité d’organisation

Présidente du colloque :

Georgiana Badea, Professeur des Universités HDR, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Secrétaire du colloque :

Andreea Gheorghiu (andreea.gheorghiu@e-uvt.ro)

 

Membres :

Neli Ileana Eiben, Maître-assistante, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Ramona Malita, Maître de Conférences, HDR, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Ioana Marcu, Maître-assistante, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie.

Vasile Popovici, Professeur des Universités HDR, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Mariana Pitar, Maître de Conférences, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Cristina Tănase, Assistante, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Eugenia Tănase, Maître-assistante, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Adina Tihu, Maître-assistante, Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie.

 

Organisateurs

Université de l’Ouest de Timişoara, Roumanie

Chaire de Français du Département des Langues Romanes

Centre d’Études Francophones

Centre d’Études ISTTRAROM Translationes

Centre d’Études Romanes de Timişoara CSRT

UNITA Montium

Bibliographie indicative

ALBER, Jean-Luc. « De l’euphémisation : considérations sur la rectitude politique ». In : Gilbert Rist (dir.), Les mots du pouvoir : Sens et non-sens de la rhétorique internationale. Genève : Graduate Institute Publications, 2002. [En ligne]. Généré le 27 juin 2021. URL : http://books.openedition.org/iheid/2461. Consulté le 14 juin 2021.

ALMEIDA, José Domingues de. « La face (in)correcte du littéraire : considérations en guise d’avertissement », Carnets, Première Série – 3 Numéro Spécial, 2011. [En ligne]. Mis en ligne le 19 juin 2018. URL : http://journals.openedition.org/carnets/6280. Consulté le 17 juin 2021.

BARBÉRIS, Isabelle. L’art du politiquement correct : sur le nouvel académisme anticulturel. Paris : P.U.F., 2018.

BLANCHE-BENVENISTE, Claire, VALLI, André. « L’intercompréhension : le cas des langues romanes [numéro thématique] ». Le français dans le monde, Janvier, 1997.

BOCK-CÔTÉ, Mathieu. L’empire du politiquement correct. Paris : Les éditions du Cerf, 2019.

BRIÈRE, Sophie (dir.). Les femmes dans des professions traditionnellement masculines. Québec : Presses de l’Université Laval, 2019.

CANDEA, Maria, VÉRON, Laélia. Le français est à nous ! Petit manuel d’émancipation linguistique. Paris : La Découverte, 2019.

CHAPUT, Jean-Marc, BEAUDRY, René-Pierre. Politiquement correct. Québec : Outremont, Quebecul, 2006.

CORNU, Gérard. Linguistique juridique. Paris : Montchrestien, 1990.

DIESBACH, Ghislain de. Jules Verne : politiquement incorrect ? Versailles : Éditions Via romana, [1969] 2019.

LE BON, Gustave. La vie des vérités. Paris : Éditions Flammarion, 1914.

LEBOUC Georges. Parlez-vous le politiquement correct ? Bruxelles : Éditions Racine, 2008.

MANGEOT Philippe. « Bonnes conduites ? Petite histoire du “politiquement correct” (1) », Vacarme (Paris), nº 1, février-mars, 1997. [En ligne]. URL : http://vacarme.eu.org/no1/mangeot1.html. Consulté le 15 juin 2021.

MATTILA, Heikki E.S. Jurilinguistique comparée. Cowansville : Éditions Yvon Blais, 2012.

MELNIK, Constantin. Politiquement incorrect. Paris : Éditions Plon, 1999.

MERLIN-KAJMAN, Hélène. La Littérature à l’heure de #MeToo. Paris : Éditions d’Ithaque, 2020.

MERMET, Gérard. Démocrature : comment les médias transforment la démocratie. Paris : Aubier, 1987

MOURA, Jean-Marc. Littératures francophones et théorie postcoloniale. Paris : P.U.F., 1999.

MUNIER, Jacques. Politiquement correct ? « Le journal des idées », émission sur France culture. https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-idees/le-journal-des-idees-jeudi-12-octobre-2017. Consulté le 13 juin 2021.

PROVENZANO, François. « Pour une nouvelle politique des études littéraires francophones », Carnets Première Série – 1, Numéro Spécial, 2009, p. 255-378. 

RACHAD, Antonius. « Repenser les catégories de « majorité » et de « minorité » : l’islamisme comme phénomène minoritaire dans les sociétés occidentales », Revue européenne des migrations internationales, vol. 31 – n°2| 2015. [En ligne]. Mis en ligne le 01 juin 2018. URL : http://journals.openedition.org/remi/7238. Consulté le 05 mai 2021.

RICHER, Stephen, WEIR, Lorna. Beyond political correctness: towards the inclusive university. Toronto : University of Toronto Press, 1955.

SALTYKOV, Maria. « La formule politiquement incorrecte dans le discours public : emplois, définitions discursives et enjeux socio-politiques et culturels », ILCEA 42 | 2021. [En ligne]. Mis en ligne le 31 janvier 2021. URL : http://journals.openedition.org/ilcea/11573. Consulté le 11 juin 2021.

SANTOS, Leonor. « Plurilinguisme et culture scolaire : l’intercompréhension comme voie de changement ». Éla. Études de linguistique appliquée, vol. 146, no. 2, 2007, p. 205-213.

VIENNOT, Eliane. Le langage inclusif : pourquoi, comment. Petit précis historique et pratique. Postface de Raphaël Haddad et Chloé Sebagh. Donnemarie-Dontilly : Éditions iXe, 2018. Collection xx-y-z.

2.  Job and scholarship Opportunities

 

2.1. Language Tutors in French, University of Manchester.

Two Language Tutor posts in French at The University of Manchester. For further information, please see links below:

Fixed term tenable from 1 September 2021 to 30 November 2021:

https://www.jobs.manchester.ac.uk/displayjob.aspx?jobid=20566

Part-time and permanent from 1 December 2021

https://www.jobs.manchester.ac.uk/displayjob.aspx?jobid=20565

2.2. British Academy’s Postdoctoral Fellowship Scheme, University of Aberdeen

The School of Language, Literature, Music and Visual Culture at the University of Aberdeen invites applications from prospective candidates for the British Academy’s Postdoctoral Fellowship Scheme. Each year the School supports applications for projects in all our subject areas. These include Celtic & Anglo-Saxon Studies; English Language & Literature; Linguistics; Modern Languages; Ethnology & Folklore; Film & Visual Culture; and Music. Successful applicants will join a vibrant community of postdoctoral research fellows. The University of Aberdeen is fully committed to supporting the scholarship and career development of postdoctoral fellows, and each will be assigned an academic mentor and will be fully integrated into the life of the School.

French and Francophone Studies at Aberdeen welcomes enquiries from prospective candidates interested in applying to the British Academy scheme with us. We have wide-ranging research expertise, including:

Literature and culture of the seventeenth and eighteenth centuries

Visual culture, film and photography from the early twentieth century to the present

Urban space and the cultural history of French modernity

The politics and culture of identity and migration in contemporary Francophone culture

Medical Humanities and critical disability studies

Post-war critical theory, philosophy and thought

Contemporary fiction, prose and poetry

Details of staff research interests can be found here:

https://www.abdn.ac.uk/sll/disciplines/research-interests-1350.php

 

The School also welcomes interdisciplinary research proposals, particularly within the University of Aberdeen’s 2040 Interdisciplinary Challenge Areas, more details of which can be found here:

https://www.abdn.ac.uk/2040/interdisciplinary-challenges/index.php

 

The British Academy’s deadline for applications is 14 October 2021. Prior to this deadline, the School is running an internal selection process with a deadline of 5pm on Friday 27 August 2021, full details of which can be found here:

https://www.abdn.ac.uk/sll/news/15174/

If you are interested in applying to the British Academy scheme with us, informal enquiries can be addressed to Edward Welch, Carnegie Professor of French (email edward.welch@abdn.ac.uk). Please note that candidates must be within three years of the award of their doctorate, and must be a UK or EEA national, or have completed their doctorate at a UK university. Full details of the scheme and eligibility criteria on the British Academy Postdoctoral Fellowships webpages:

https://www.thebritishacademy.ac.uk/funding/postdoctoral-fellowships/

2.3. British Academy Postdoctoral Fellowship at the University of Exeter

expressions of interest for the British Academy Postdoctoral Fellowship at the University of Exeter:

https://humanities.exeter.ac.uk/research/facilities/funding/

The deadline for expressions of interest is Monday 9 August 2021; we ask candidates to submit to H.G.A.Roberts@exeter.ac.uk (as Director of Research for Modern Languages) and to copy in HSSClusters@exeter.ac.uk .

3.  Announcements

3.1. Seminar “Autofiction: A Female Francophone Aesthetic of Exile”, University of London, 8 September 2021.

Centre for the Study of Contemporary Women’s Writing

INSTITUTE OF MODERN LANGUAGES RESEARCH

School of Advanced Study • University of London

Seminar

8 September 2021

12:00-13:30 BST

 

https://modernlanguages.sas.ac.uk/events/event/24520

Speakers:
Antonia Wimbush (Liverpool)
Leslie Barnes (Australian National University)
Amaleena Damlé (Durham)
Natalie Edwards (Adelaide)

Chair: Joseph Ford (IMLR)

Antonia Wimbush is joined by Leslie Barnes, Amaleena Damlé and Natalie Edwards to talk about her new book, Autofiction: A Female Francophone Aesthetic of Exile, published by Liverpool University Press in August 2021. The book examines themes of exile, mobility, and identity in contemporary autofictional narratives written in French by women writers from across the Francophone world. Wimbush draws on postcolonial theory, gender theory, and autobiographical theory to analyse narratives of exile by Kim Lefèvre, Gisèle Pineau, Nina Bouraoui, Michèle Rakotoson, Véronique Tadjo, and Abla Farhoud. She reads exile in light of both gender and literary genre, arguing that autofiction gives these women writers the space to reconfigure their literal and metaphorical exile on their own terms. Wimbush demonstrates that the French colonial past continues to shape female articulations of mobility and identity in the postcolonial present.

Biographies
Antonia Wimbush is a Leverhulme Early Career Fellow in the Department of Modern Languages and Cultures at the University of Liverpool. Her current research project investigates cultural responses to post-war Caribbean migration to metropolitan France. She is the author of Autofiction: A Female Francophone Aesthetic of Exile (Liverpool University Press, 2021). She also recently co-edited Queer(y)ing Bodily Norms with Francophone Culture (Peter Lang, 2021).

Leslie Barnes is Senior Lecturer of French Studies at the Australian National University. Her first book, Vietnam and the Colonial Condition of French Literature (Nebraska, 2014), offers a literary history of twentieth- and twenty-first-century France that figures border crossings and contact with the colonial other as constitutive elements of metropolitan literary production. Her current project studies literary and cinematic narratives that engage with questions of sex work, mobility, and human rights in Southeast Asia. She has published on these and other subjects in Journal of Vietnamese Studies, Modern Language Notes, and French Cultural Studies. She is also co-editor of The Cinema of Rithy Panh: Everything Has a Soul (Rutgers University Press, 2021)

Amaleena Damlé is Associate Professor in French at Durham University. Her research interests reside in questions of embodiment, affect, gender, sexuality and race in contemporary French and francophone literature and philosophy. She is the author of The Becoming of the Body: Contemporary Women’s Writing in French (Edinburgh University Press, 2014), and has co-edited, with Gill Rye, three books on twenty-first-century women’s writing in French. Amaleena is currently working on a monograph on the politics of consumption in francophone Mauritian author Ananda Devi’s writing, and a crosscultural project on contemporary narratives of birth.

Natalie Edwards is Professor of French and Deputy Dean for Research in the Faculty of Arts at the University of Adelaide. She specialises in contemporary literature in French, especially women’s writing, multilingual writing and transnational writing. Her most recent book is Multilingual Life Writing by French and Francophone Women: Translingual Selves (Routledge 2020). She is currently work with Chris Hogarth on a project funded by the Australian Research Council on French Migrant Writing to Australia.

All are welcome to attend this free conference, which will be held online via Zoom at 12:00 BST. You will need to register in advance to receive the online joining link: https://modernlanguages.sas.ac.uk/events/event/24520

 

Centre for the Study of Contemporary Women’s Writing

Institute of Modern Languages Research

School of Advanced Study | University of London
Room 239 | Senate House | Malet Street | London WC1E 7HU | UK

http://modernlanguages.sas.ac.uk | modernlanguages@sas.ac.uk

3.2.  R. Gapper book prize

The Society for French Studies is inviting submissions for the R. Gapper book prize. The deadline for the prize, for a book published in 2020, is 27 August 2021. More details below and on the website:

https://www.sfs.ac.uk/prizes/r-gapper-book-prize.

Listen to Maria Scott (Associate Professor of French Literature and Thought, University of Exeter) talk about her experience of winning the R. Gapper book prize:

https://vimeo.com/533504200

Each year, the Society awards the prestigious R. Gapper book prize for a book in the field of French studies, published for the first time in the previous calendar year, by a scholar based in an institution of higher education in the United Kingdom or Ireland.

The award commends books of critical and scholarly distinction which have a clear impact on the wider critical debate. It includes a cash prize of £2000, and expenses-paid travel to the next annual conference of the Society for French Studies. In addition, the award is publicized in French Studies, in the French Studies Bulletin, and on the Society’s website.

The award is usually made in February of each year and is presented to the winner at the annual conference of the Society for French Studies. The winner is selected by the Gapper Book Prize Jury, appointed by the SFS Executive and chaired by one of their number. Their decision is then proposed to the SFS Executive and to the R. H. Gapper Charitable Trust, who jointly award the prize. The criteria for award of the prize are, broadly, the book’s critical and scholarly distinction and its likely impact on wider critical debate. In assessing these, the following qualities will be taken into account:

  • Scope and range
  • Intellectual ambition
  • Originality
  • Coherence and persuasiveness
  • Depth of scholarship
  • Eloquence

Submissions should be sent to the Chair of the Jury, Dr Patrick Crowley, by Friday 27 August 2021, at the following address:

Dr Patrick Crowley, Head of School of Languages, Literatures and Cultures, O’Rahilly Building, University College Cork, College Road, Cork T12 K8AF, Ireland.

3.3.   INSTITUTE OF MODERN LANGUAGES RESEARCH, School of Advanced Study, University of London, “Narratives of Selfhood and Ambivalence”, 30 September – 2 October 2021

 

https://modernlanguages.sas.ac.uk/events/event/24529

Keynote speakers: Shirley Jordan (Newcastle), Natalie Edwards (Adelaide), Christopher Hogarth (South Australia)
Organisers: Françoise Campbell (IMLR) and Beth Kearney (Queensland)

Day One: Thursday 30 September 2021

London (UK): 8:00 am-11:20 am ― programme below is in BST
Sydney/Melbourne/Canberra/Brisbane (Aust.): 5:00 pm-8:20 pm

Welcome                           
08:00     Françoise Campbell (IMLR) and Beth Kearney (Queensland)

08:05     Panel 1  Queer Identity and Ambivalent Bodies
Chair: TBC
Ana Bessa Carvalho (Minho): ‘2011: the Summer of Our Changing Bodies’: Transitioning in Maggie Nelson’s The Argonauts
Gracija Atanasovska (Potsdam): Producing Queer Agency: Carmen Maria Machado’s In the Dream House as an Autofiction Narrative
Pariwat Sukwichai (Paris Nanterre): The Literary Resistance of Bisexual Body in Saccage (2006) by Éric Jourdan and Call me by your name (2007) by André Aciman

 

09:10     Break

 

09:20     Panel 2  Ambivalence in Coming-of-Age and Trauma Narratives
Chair: TBC
James Cleverly (Melbourne): Feeling the Way in Cate Shortland’s Lore (2012)
Kate Mackenzie (St Andrews): The adolescent narrator and the fractured self in two (post-)conflict novels from Central Africa
Clíona Hensey (Ireland): Ambivalent returns in Zahia Rahmani’s France: Récit d’une enfance (2006) and Alice Zeniter’s L’art de perdre (2017)

10:25     Keynote 1: Shirley Jordan (Newcastle)                
Selfhood and Ambivalence in Camille Reynaud’s Et par endroits ça fait des noeuds        
10:50     Q&A

11:20     End

Day Two: Friday 1 October 2021

London (UK): 8:00 am-12:50 pm ― programme below is in BST
Sydney/Melbourne/Canberra/Brisbane (Aust.): 5:00 pm.-9:50 pm

Welcome                            
8:00        Beth Kearney (Queensland)

8:05        Keynote 2: Christopher Hogarth (South Australia)          
Writing for Others in Spite of the Self?: Ambivalent Boundaries Between Fiction and Women’s (Life) Writing in Francophone and Italophone Afropean Contexts            
8:30        Q&A

09:00     Panel 3  Postcolonial Exile and Migration
Chair: TBC  
Antonia Wimbush (Liverpool): Autofiction: A Female Francophone Aesthetic of Exile
Shweta Deshpande (CUNY): Displaced Identities in Sumona Sinha’s Assommons les pauvres! (Let Us Strike Down the Poor!)
Joseph Ford (London): Narrativizing the self and the ambivalent relation to world literature in the work of Kaouther Adimi

10:05     Break

10:15     Panel 4  Racial Identity and Ambivalence
Chair: TBC
Isabell Sluka (Connecticut): ‘Looking at one’s self through the eyes of others’: Double Consciousness and its Potentiation in Olivia Wenzel’s 1000 Serpentinen Angst
Kata Gyuris (Eötvös Loránd): The Ambivalence of Post-Apartheid Whiteness: Corporeality and the Body Politic in Henrietta Rose-Innes’s Nineveh
Madeline Muravchik (Maryland): Comedy Noir: Racial Identity and Ambiguity among French Comedians
Jorien van Beukering (Queensland): Using Ambivalence to Understand Illegitimate Mixed-Race Indo-European Identity

11:35     Break

11:45     Panel 5  Fragmented Female Selves: Gender in Post- or De-colonial Context
Chair: TBC
Daisy Savage (Birmingham): Mixed métissage: split subjectivity and fragments of self in Nina Bouraoui’s Nos baisers sont des adieux
Lucile Richard (UCL): Writing the postcolonial self: fragmentation, fluidity and women’s memory in Assia Djebar’s Vaste est la Prison
Shreya Bera (Szeged): Oleander Girl and the Otherness: Fashioning the Sublime Identity through Body, Home and Nostalgia

Day Three: Saturday 2 October 2021

London (UK): 8:00 am-12:20 pm ― programme below is in BST
Sydney/Melbourne/Canberra/Brisbane (Aust.): 5:00 pm-9:20 pm

Welcome                            
8:00        Françoise Campbell (IMLR)

8:05                        Keynote 3:  Natalie Edwards (Adelaide)
Title: TBC

8:30                        Q&A

9:00                        Panel 6  Trouble Every Way: Ambivalent Selves in Contemporary French Women’s Writing
Chair: TBC
Dominique Carlini Versini (Durham): Reclaiming Agency in Vanessa Springora’s Le Consentement (2019)
Rebecca Rosenberg (King’s College London): Chahdortt Djavann’s Ambivalences of Autofiction, Psychoanalysis and Exile
Adina Stroia (Newcastle): Féminin/féminin: Lesbian Elusiveness in Contemporary French Women’s Writing

10:05     Break

10:15     Panel 7  Mediated Selves
Chair: TBC
Ashley Harris (QUB): Beigbeder, Despentes, Houellebecq and Transmedial Ambivalence
Jemima Rose Jobling (Newcastle): Un exercice d’éclatement: the multimedia universe of Virginie Despentes
Felicity Chaplin (Monash): Transmedia stardom: Charlotte Gainsbourg’s self-representation through hybrid media              
Eric Wistrom (Wisconsin-Madison): Intermediality and the Collective Narration of the Self: Facebook’s Chronique de Aliyah: L’Amour à la Ghetto Youth
              
11:35    Closing discussion         
Serious by association: Reading, theorising and teaching men’s writing as women in literary studies
With Dr Frances Egan (Monash) and Dr Ruth McHugh-Dillon (Monash)
12:05     Q&A

All are welcome to attend this free conference. Please note the programme times above are in BST – please adjust for your local time zone. You will need to register in advance to receive the online event joining link. The joining link will be valid for all the sessions: https://modernlanguages.sas.ac.uk/events/event/24529 

4.  New Titles

4.1. Inaugural Issue, Les Cahiers du Tout-Monde, Revue du Centre international d’études Édouard Glissant (CIEEG) de l’Institut du Tout-Monde

Les Cahiers du Tout-Monde

Revue du Centre international d’études Édouard Glissant (CIEEG) de l’Institut du Tout-Monde

N° 1 – Juillet 2021, « Présences d’Édouard Glissant »,

Éditions de l’Institut du Tout-Monde, 2021.

Site des Éditions de l’Institut du Tout-Monde

EAN13 : 9782491641078.

Les Cahiers du Tout-Monde émanent des travaux du Centre international d’études Édouard Glissant, fondé en octobre 2018 au sein de l’Institut du Tout-Monde. La revue vise le renouvellement du discours critique porté autour de l’œuvre de Glissant. Il s’agit autant que possible d’animer la recherche glissantienne dans une intention d’approfondissement de la connaissance de l’œuvre.

Ces Cahiers du Tout-Monde tâchent de conserver et de prolonger l’esprit d’ouverture et de vigie qu’a manifesté Édouard Glissant tout au long de son activité littéraire et de son engagement intellectuel, en faisant nôtre l’injonction qui fut constamment la sienne, de « penser avec le monde ».

Il ne s’agit pas de s’enfermer dans le discours d’une spécialisation portée sur la pensée de Glissant, mais d’engager à son endroit les regards d’intelligibilité qui, adossés à une relecture vraie de son œuvre, devront permettre d’en souligner l’acuité et même l’urgence pour notre temps.

Ce premier numéro de la revue propose les actes sensiblement augmentés de la session 2018-2019 du Séminaire de l’Institut du Tout-Monde, qui avait été consacrée aux « Présences d’Édouard Glissant ». Des études de Corinne Mencé-Caster, Sam Coombes, Christian Uwe, Michael Wiedorn, Loïc Céry, Serge Palin et des entretiens avec Sylvie Glissant, Juliette Éloi-Blézès, Federica Matta, Jean-Pierre Salgas.

Table des matières…

TABLE DES MATIÈRES

_______________________________________________

–  Comité de lecture de la revue

–  Le Centre international d’études Édouard Glissant (CIEEG) de l’Institut du Tout-Monde –

PRÉSENTATION

–  AVANT-PROPOS. Loïc Céry (CIEEG de l’ITM) – Nous sommes tous de jeunes lecteurs

–  PRÉSENCES D’ÉDOUARD GLISSANT – Actes augmentés du Séminaire de l’Institut du Tout- Monde, session 2018-2019

–  Entretien avec Sylvie Glissant – La terre magnétique : le lieu et la formule

–  Corinne Mencé-Caster (Sorbonne Université) – La réception de l’œuvre d’Édouard Glissant à

l’épreuve des Antilles

–  Loïc Céry (CIEEG de l’ITM) – Béhanzin, Beauregard, Marny Marajo, Chalvet : référents et archétypes de l’histoire martiniquaise dans le roman glissantien. Une chronique des tombé lévé

–  Entretien avec Federica Matta et Juliette Éloi-Blézès – Une histoire de l’IME (Institut Martiniquais d’études)

–  Serge Palin (Musée du Quai Branly) – L’Anthropologie du Divers d’Édouard Glissant

–  Christian Uwe (Université du Minnesota) – Le discours choral : poétique narrative de Glissant

–  Sam Coombes (Université d’Édimbourg) – La poétique de la Résistance d’Édouard Glissant

–  Michael Wiedorn (Georgia Institute of Technology) – Lire, relire, relayer : le livre et le monde, le livre est le monde

–  Entretien avec Jean-Pierre Salgas (EnSAD) – Flilistrie et créolisation : Gombrowicz et Glissant

–  Table des illustrations

4.2. Samuel Kennedy Yeboah, The Ideology of Racism, Hansib Publications, 2021.

“If an organisation seeks to eliminate racial discrimination and to promote
equal opportunity which should lead generally to racial equality . then it
is imperative that the causes of racial discrimination are identified, and
measures taken to eliminate them.”

Samuel Kennedy Yeboah, The Ideology of Racism, published by and available
from Hansib Publications

https://www.hansibpublications.com/epages/es147335.sf/en_GB/?ObjectPath=/Sho
ps/es147335/Products/HP045

4.3.  “Postcolonial realms of memory in the francophone world” (Jonathan Lewis and Antonia Wimbush), Francosphères.

Volume 10.2 is a special issue which explores France’s colonial past. Articles analyse sites of memory in the francophone world, such as physical monuments, literary texts, and films.

Read the issue Open Access >

In partnership with the Open Library of the Humanities, Francosphères is a fully open access journal and all content is freely available. There is no Article Publishing Charge for authors and all articles from 2019 onwards are published under a CC-BY license.

Table of contents

INTRODUCTION: POSTCOLONIAL REALMS OF MEMORY IN THE FRANCOPHONE WORLD

JONATHAN LEWIS | ANTONIA WIMBUSH

RESEARCH ARTICLES

PLAYING DEVIL’S ADVOCATE: DIGGING UP THE COLONIAL PAST IN PIERRE NORA’S LES LIEUX DE MÉMOIRE

ETIENNE ACHILLE

DÉCRYPTAGE DE L’EXPOSITION ‘LE MODÈLE NOIR’ AU MUSÉE D’ORSAY, OU INTERROGER L’ÉVITEMENT DU PASSÉ COLONIAL FRANÇAIS PAR LE BIAIS DE L’ANONYMAT DES CORPS NOIRS

JENNIFER BOUM MAKE

LIEU DE MÉMOIRE, LIEU D’OUBLI, LIEU DE RÉPARATION?: THE COLONIAL HOUSE IN CONTEMPORARY MAURITIAN ART AND LITERATURE

JULIA WATERS

COMICS AS COMMEMORATION?: THE TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS AND WORLD WAR I

MICHELLE BUMATAY

LIMINAL LIEUX DE MÉMOIRE: REPRESENTATIONS OF POSTCOLONIAL MEMORY IN TONY GATLIF’S EXILS (2004)

ANDREW MCGREGOR

ENTANGLED CARIBBEAN REWRITING, C.L.R. JAMES, AIMÉ CÉSAIRE, AND THEIR BOOKS AS POSTCOLONIAL LIEUX DE MÉMOIRE

RACHEL DOUGLAS

DOSSIER: BREATHING SPACES

DOSSIER BREATHING SPACES: INTRODUCTION

AMALEENA DAMLÉ

‘UNREAL CITY, UNREAL WORLD’: CONVERSATION BILINGUE AVEC ANANDA DEVI ET JEFFREY ZUCKERMAN À PROPOS DES JOURS VIVANTS

AMALEENA DAMLÉ

UNE DANSE DE FUNAMBULE TRANSPOSITIONS IN ART, TEXT, AND LANGUAGE: UNE ÂME CLAUSTRÉE

ANANDA DEVI | JESSICA RAINEY |SAM BOOTLE | ITA MAC CARTHY | AMALEENA DAMLÉ | REBEKAH VINCE | KIM SANDERSON | KHALID LYAMLAHY

STRUGGLING FOR BREATH: REFLECTIONS ON RESPIRATION IN ANANDA DEVI’S LES JOURS VIVANTS

AMALEENA DAMLÉ

CONTRIBUTORS

RECOMMEND TO YOUR LIBRARIAN >

4.4.  René Maran, Bêtes de la brousse, Sciteps, 2021.

This being the centenary of the prix Goncourt being awarded to René Maran for his controversial novel Batouala, I have the pleasure to announce that readers have access at last to another of his books, Bêtes de la brousse, a collection of four tales set in central Africa and written in the spirit of La Fontaine, animals being deployed to present the feelings and failings of men. Maran wrote of these short stories: ‘Il y a dans ces contes beaucoup d’action et de variété mais aussi de la poésie, des détails émouvants et réalistes qui retiennent toujours l’attention et procurent un véritable plaisir.’ For details, see http://www.scitep.fr/livre/betes-de-la-brousse.

A collection of Maran’s Nouvelles africaines et françaises inédites ou inconnues remains available in the ‘Autrement Mêmes’ series: http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=collection&no=239.

4.5. Abdellah Taïa’s Queer Migrations: Non-Places, Affect, Temporalities.  Eds. Denis M. Provencher and Siham Bouamer.  Lexington Books, 2021. 

Series: After the Empire: The Francophone World and Postcolonial France.   https://rowman.com/ISBN/9781793644862/Abdellah-Taïa’s-Queer-Migrations-Non-places-Affect-and-Temporalities

4.6. Forum for Modern Languages Studies: Colonialism’s Archive, Virtual Issue

Forum’s latest Virtual Issue is ‘Colonialism’s Archive’, a curated selection of articles from past issues of the journal highlighting its commitment to anti-racist and anti-colonialist scholarship. ‘Colonialism’s Archive’ includes forewords by Prof. Derek Duncan (St Andrews) and Dr SA Smythe (UCLA) which interrogate the ongoing legacy of colonialism and racial oppression today.

https://academic.oup.com/fmls/pages/colonialisms-archive-virtual-special-issue

Editorial

Colonialism’s Archive

Derek Duncan

Articles

“Corps perdu”: A Note on Fanon’s Cogito

Jean Khalfa

Problematizing Minor Transnational Identities And Patterns Of Othering In Meg Vandermerwe’s Zebra Crossing

Juliet Sylvia Pasi, Josephine Olufunmilayo Alexander

Returning Remains: Saartjie Baartman, or the “Hottentot Venus” as Transnational Postcolonial Icon

Lydie Moudileno

Benjamin’s Cousins: (Translated from the French by Dominic Thomas)

Abdourahman A. Waberi

English, Cosmopolitanism and the Myth of National Linguistic Homogeneity in Nuruddin Farah’s Fiction

Michael Andindilile

“The Song of the Migrating Bird”: For a World Literature in French: (Translated from the French by Dominic Thomas)

Alain Mabanckou

Conclusion

What Is To Be Done? A Foreword, After

SA Smythe

4.7.  Numéro spécial de la revue “Journal of World Literature”, Contemporary Congolese Literature as World Literature, ed. Julien Jeusette et Silvia Riva (Special Issue, Volume 6 (2021): Issue 2, June 2021)

Le numéro est en ligne et entièrement en libre accès.

Voici le lien direct : https://brill.com/view/journals/jwl/6/2/jwl.6.issue-2.xml

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